Domaine structural de Poisson blanc
Étiquette structurale : DSpsb
Première publication :  
Dernière modification :
Auteur(s) Bandyayera et Daoudene (2018)
Méthodologie Défini à partir de levés géologiques, de données géophysiques et de compilation géologique
Subdivision(s) géologique(s) Province du Supérieur/Sous-province de Nemiscau
Mouvement principal Ne s’applique pas
Style de déformation Plissement monophasé
Faciès métamorphique (faciès moyen lié à la déformation principale) Amphibolites

Historique et méthodologie

 

Le Domaine structural de Poisson Blanc (DSpsb) a d’abord été documenté dans les feuillets SNRC 32N03, 32N04 et 32K13 par Bandyayera et Daoudene (2017) sous le nom de « Domaine 1 ». Ces auteurs l’ont ensuite étendu au sud des feuillets 32N06 et 32N07 pour lui donner le nom de « Sous-domaine du Lac du Poisson Blanc ». Par la suite, Bandyayera et al. (2022) l’ont également prolongé vers l’est (feuillets 32N01, 32N02 et 32O04) et vers l’ouest (feuillets 32N16, 32M01, 32M02, 32M07 et 32M08) à l’aide des levés aéromagnétiques régionaux de D’Amours (2011) et de D’Amours et Intissar (2012). Bandyayera et al. (2022) l’ont renommé « Domaine structural de Poisson Blanc » et uniformiser sa description en se basant sur l’ensemble des travaux de reconnaissance géologique précédents (Remick 1973; Remick et Ahmedali, 1974; Dubé, 1976; Bandyayera et Daoudene, 2017 et 2018; Pedreira et al., 2018, 2019 et 2020.

Ce domaine tire son nom du lac du Poisson Blanc localisé dans le coin NW du feuillet 32N03.

 

Limites et morphologie

Largeur (km) 3 (minimum) à 40 (maximum)
Longueur (km) 200
Orientation Allongement E-W 

 

Le Domaine structural de Poisson Blanc couvre la majeure partie des feuillets 32M01 et 32N04. Il occupe aussi en moindres proportions les feuillets 32K13, 32L16, 32M02, 32M07, 32M08, 32N01, 32N02, 32N03, 32N05, 32N06, 32N07 et 32O04. Il se présente sous la forme d’une longue bande de 200 km, orientée E-W, dont la largeur est plus grande dans sa partie ouest. En effet, d’une largeur de 3 km à 15 km dans sa partie est, elle atteint de 7 km à 40 km à l’ouest. Sa bordure nord est plutôt rectiligne et orientée E-W, alors que sa limite sud est curviligne.

Le Domaine structural de Poisson Blanc est délimité au nord par la Zone de cisaillement de Naquiperdu et au SW par la Zone de cisaillement de Nottaway. L’extrémité occidentale du domaine est recouverte par les roches sédimentaires paléozoïques de la Plate-forme de la baie d’Hudson. Plus au sud, en allant vers l’est, il est en contact avec les domaines structuraux de Chaboullié-Lavau et de Ginguet. La limite entre les domaines structuraux de Poisson Blanc de Ginguet a été tracée de façon relativement arbitraire par Bandyayera et al. (2022). Les deux domaines présentent des caractéristiques similaires, tant au niveau des roches qui les composent que des textures magnétiques. Les domaines structuraux de Poisson Blanc et de Ginguet sont majoritairement composés des complexes de Rupert et de Ginguet, respectivement. Ces deux unités de roche métasédimentaire sont très similaires et pourraient correspondre à des équivalents latéraux. Les domaines structuraux de Poisson Blanc et de Ginguet pourraient ainsi former un seul et unique domaine structural.  

 

Unités stratigraphiques concernées

Les unités stratigraphiques et lithodémiques qui composent le Domaine structural de Poisson Blanc sont :

Caractéristiques structurales

Le Domaine structural de Poisson Blanc montre des fabriques minimalement associées à deux phases de déformation. La plus précoce et la principale, Dn, est régionalement attribuée à D2, alors que la plus tardive, Dn+1, est associée à D3 (Bandyayera et al., 2022).

❯ Fabriques principales

Sn = S2

Le Complexe de Rupert est la seule unité dans laquelle la frabrique Sn a été observée. La partie occidentale du domaine est moins bien connue et d’autres unités pourraient aussi être affectées par la fabrique Sn

En affleurement, la fabrique Sn est marquée par le rubanement migmatitique des paragneiss qui montrent une alternance des rubans de mobilisat d’épaisseur centimétrique à décimétrique conférant à la roche une structure stromatitique. Dans les niveaux les moins riches en mobilisat, la Sn s’exprime par une foliation tectonométamorphique diffuse, soulignée par l’orientation préférentielle des feuillets de biotite et localement de muscovite, mais aussi par l’aplatissement des porphyroblastes de grenat et de cordiérite (Bandyayera et Daoudene, 2017; Pedreira et al., 2018). Par endroits, des cristaux aciculaires de sillimanite alignés parallèlement aux plans de la Sn ont aussi été observés (Pedreira et al., 2018). Parallèlement, selon les observations de Bandyayera et Daoudene (2017), la fabrique Sn peut aussi être matérialisée par l’aplatissement des grains de quartz et de plagioclase.

La projection stéréographique des pôles de 622 mesures de la fabrique Sn collectées dans la majeure partie du Domaine structural de Poisson Blanc montre qu’elle est globalement orientée E-W, mais varie du WNW-ESE au ENE-WSW. La direction moyenne (86°) est cohérente avec l’orientation générale du domaine. De plus, une majeure partie des mesures présente un pendage modéré à abrupt vers le sud. En carte, la trajectoire de la fabrique Sn souligne localement la présence de plis serrés à isoclinaux Pn+1.

 

Fabrique principale Type de fabrique Direction (°) Pendage (°) Nombre de mesures Commentaires
Foliation Sn Rubanement migmatitique et foliation minérale secondaire (tectonométamorphique) 86 74 622 Mesures structurales provenant des travaux de Wallach (1973), Remick et Ahmedali (1974), Ciesielski (1975), Dubée (1976) et Bandyayera et Daoudene (2017 et 2018)

 

❯ Autres fabriques

S0

Dans les roches métasédimentaires du Complexe de Rupert, Bandyayera et Daoudene (2018a) ont aussi observé des niveaux centimétriques à métriques présentant des structures laminées et rubanées ainsi que des variations de composition minéralogique. Ces auteurs interprètent ces structures, communément transposées au rubanement migmatitique, comme les évidences d’un litage sédimentaire. Pedreira et al. (2018) ont aussi noté que les roches sédimentaires faiblement migmatitisées montrent une lamination sédimentaire confondue à la foliation tectonométamorphique Sn.

 

Sn+1 = S3

Les plis Pn+1 (voir la section « Plis ») doivent être accompagnés d’une foliation ou d’une schistosité de plan axial Sn+1. Toutefois, celle-ci n’a pas été observée. Étant donné la forme serrée à isoclinale des plis Pn+1, les fabriques Sn et Sn+1 doivent être généralement confondues, en particulier le long des flans de plis. Ceci peut expliquer en partie le manque d’information sur la fabrique planaires la plus récente. Afin de mieux distinguer les deux fabriques, une analyse structurale approndie dans les zones de charnière de plis Pn+1 est recommandée et nécessaire.

 

 

Sn+2 = S4

 

Bandyayera et Daoudene (2017) et Pedreira et al. (2018) ont observé très localement la présence d’une schistosité de crénulation dans les roches métasédimentaires à proximité du contact avec le Domaine structural de Chaboullié-Lavau. Cette fabrique attribuée à une phase de déformation Dn+2 (D4 de Bandyayera et al., 2021) est globalement orientée NE-SW (projection stéréographique).

Parallèlement, une foliation NW-SE localement mylonitique et des indicateurs de cisaillement dextre ont été observés dans l’extrémité sud du domaine (feuillet 32K13). Ces fabriques sont cohérentes avec la déformation cisaillante associée à la Zone de cisaillement de Nottaway.

Les fabriques Sn+2observée à proximité de la Zone de cisaillement de Nottaway et du Domaine structural de Chaboullié-Lavau sont visiblement associées à des mouvements cisaillants conjugués .

 

Fabrique principale Type de fabrique Direction (°) Pendage (°) Nombre de mesures Commentaires
Foliation Sn+2 Schistosité de crénulation 31 72 10 Mesures structurales provenant des travaux de Bandyayera et Daoudene (2017) dans les feuillets 32K13, 32N03 et 32N04

 

❯ Plis

La trajectoire en carte de la foliation Sn et des linéaments magnétiques ainsi que la répartition en deux groupes relativement distinctes des pôles des mesures indiquent la présence de plis Pn+1 serrés à isoclinaux. L’orientation des traces axiales de ces plis oscille entre le WNW-ESE et le ENE-WSW. Étant donné la forme des plis en carte, le plan moyen de la foliation Sn (86°/74°) correspond approximativement au plan axial moyen. De plus, une majorité des mesures de la foliation Sn montre un pendage modéré à fort vers le sud, ce qui semble indiquer que les plis sont déjetés vers le nord. Le pôle du grand cercle le long duquel se distribue grossièrement une partie des pôles de la Sn est une estimation de l’orientation moyenne des axes de plis Pn+1. L’axe moyen (100°/49°) plonge modérément vers l’est.

À proximité du Domaine structural de Chaboullié-Lavau (feuillets 32N04 et 32K13), Bandyayera et Daoudene (2017) interprètent la présence de plis à l’aide de la trajectoire de la foliation Sn. Ces plis qui montrent des traces de plan axial ENE-WSW sont en continuité avec les plis Pn+1 décrits précédemment. Selon Bandyayera et Daoudene (2017), l’orientation de ces plis est cohérente avec une déformation cisaillante senestre tardive le long de la zone de contact entre les domaines structuraux de Chaboullié-Lavau et de Poisson Blanc.

 

Paramètres géométriques des plis régionaux :

Pli ou famille de plis Type (anticlinal, synclinal ou indéterminé) Forme (antiforme ou synforme) Attitude (déversé ou droit) Plan axial Axe de pli Position (certaine ou probable) Phase de déformation Commentaires
Direction Pendage Direction Plongement
Famille de plis ESE-WNW à ENE-WSW Indéterminé Synforme et antiforme Déjeté 86 74 100 49 Certaine Dn+2 L’estimation du plan axial moyen est donnée par le plan moyen de la foliation Sn. L’estimation de l’axe de pli moyen est fourni par le pôle du grand cercle le long duquel des mesures de la fabrique Sn se répartissent.

 

❯ Relations de recoupement

Des failles et des zones de cisaillement rectilignes ont été interprétées à partir des cartes aéromagnétiques par Bandyayera et Daoudene (2017; 2018) à la suite de leurs travaux dans les feuillets 32N03, 32N04, 32N06 et 32K13. Ces bandes de déformation situées au voisinage du contact avec le Domaine structural de Chaboullié-Lavau sont orientées NE-SW et peuvent être suivies sur une dizaine de kilomètres. L’entrainement des linéaments magnétiques, de la trajectoire de la foliation Sn et de la trace des plans axiaux Pn+1 à proximité semble indiquer un mouvement apparent décrochant senestre le long de ces zones de déformation. Pour cette raison, elles sont associées ici à la phase de déformation Dn+2.

 

Paramètres géométriques des failles régionales coupant le Domaine structural de Poisson Blanc :

Faille ou Famille de failles Type Direction (°) (moy) Pendage (°) (moy) Plongée de la linéation dans le plan de la faille Largeur estimée (m) Longueur estimée (km) Mouvement apparent Position Commentaires
Famille de failles NE-SW à ENE-WSW Zone de cisaillement 60 ~90 Non observé 15 Senestre Position déduite de levés géophysiques Petits corridors de déformation Dn+2 cisaillant à composante décrochante senestre

 

❯ Cinématique

Ne s’applique pas.

 

Style de la déformation

Le Domaine structural de Poisson Blanc présente globalement une succession de plis synformes et antiformes, serrés à isoclinaux, aux plans axiaux WNW-ESE à ENE-WSW et à fort pendage. À l’échelle du domaine, les plis régionaux semblent être le résultat d’une seule phase de déformation Dn+1. Bien qu’en l’affleurement, les roches montrent généralement une déformation modérée, cette géométrie indique que le domaine a enregistré un raccourcissement important N-S durant la phase de déformation Dn+1. À proximité du Domaine de Chaboullié-Lavau, les traces axiales des plis Pn+1 et les linéaments géophysiques ont une orientation NE-SW subparallèle à la zone de contact séparant les deux domaines, ce qui indique que cette partie du domaine a été affectée par un mouvement cisaillant senestre durant la phase de déformation Dn+2

 

Caractéristiques métamorphiques

Dans le Domaine structural de Poisson Blanc, les roches métasédimentaires du Complexe de Rupert montrent des assemblages minéralogiques caractéristiques du faciès métamorphique des amphibolites (Bandyayera et Daoudene, 2018a), voire du faciès supérieur des amphibolites (Pedreira et al., 2020). En effet, ces assemblages sont composés de biotite ± grenat ± muscovite ± cordiérite (Bandyayera et Daoudene, 2018a; Pedreira et al., 2020). Les roches du Complexe de Rupert présentent aussi des évidences de fusion partielle. Le pic métamorphique est associé à la phase de déformation Dn.

 

Altérations

Non observé.

Caractéristiques géophysiques

Les caractéristiques géophysiques sont décrites en utilisant la nomenclature de Lavoie (2017). La description des textures magnétiques est faite à partir de la carte du gradient vertical du champ magnétique résiduel (D’Amours, 2011; D’Amours et Intissar, 2012).

Le Domaine structural du Poisson Blanc présente une texture magnétique isotrope lisse avec une valeur moyenne de susceptibilité faible par rapport aux régions adjacentes. Localement, la structure est rubanée et le contraste entre les crêtes et les creux magnétiques est faible. Le rubanement, généralement rectiligne, est orienté de WNW-ESE à ENE-WSW et cohérent avec l’orientation de la fabrique régionale Sn. Sur la carte du champ magnétique résiduel, le domaine montre de faibles valeurs magnétiques, à l’exception de la partie occidentale du feuillet 32N04, où une masse légèrement circulaire de ~15 km de diamètre montre des valeurs magnétiques modérées à fortes. Cette masse présente un rubanement curviligne, plissé et dont le contraste entre les crêtes et les creux magnétiques est fort.

 

Repères chronologiques

Aucune datation n’a été effectuée au sein du Domaine structural de Poisson Blanc. Néanmoins, une diatexite dérivée d’un paragneiss du Complexe de Rupert (Domaine structural de Mezières; échantillon 2017-DB-1050A) a livré un âge U/Pb sur zircon à 2688,3 ±4,7 Ma (David, 2020). Cet âge, interprété comme celui de la fusion partielle, date la phase de déformation régionale Dn à ~2690 Ma.

 

Références

Publications accessibles dans SIGÉOM Examine

BANDYAYERA, D., DAOUDENE, Y. 2017. Géologie de la région du lac Rodayer (SNRC 32K13-32K14-32N03 et 32N04-SE). MERN. RG 2017-01, 60 pages et 2 plans.
 
BANDYAYERA, D., DAOUDENE, Y. 2018. Géologie de la région du lac Nemiscau, secteur ouest de la rivière Rupert (SNRC 32N06, 32N07 et 32N11). MERN. RG 2018-03, 58 pages et 1 plan.
 
BANDYAYERA, D., CARON-CÔTÉ, E., PEDREIRA PÉREZ, R., CÔTÉ-ROBERGE, M., CHARTIER-MONTREUIL, W., 2022. Synthèse géologique de la Sous-province de Nemiscau. Eeyou Istchee Baie-James, Québec, Canada. MERN; BG 2021-03, 1 plan.
 
CIESIELSKI, A., 1975. Les migmatites du lac Giffard (comté d’Abitibi-Est). MRN; DP 302, 14 pages, 1 plan.
 
D’AMOURS, I. 2011. Levé magnétique aéroporté de la partie sud-est de la Sous-province de Nemiscau et de la partie nord de la Sous-province d’Opinaca, Baie-James, Québec. MRNF. DP 2011-02, 8 pages et 92 plans.
 
D’AMOURS, I., INTISSAR, R. 2012. Levé magnétique aéroporté dans le secteur du lac Evans, Baie-James. MRNF. DP 2012-01, 8 pages et 66 plans.
 
DAVID, J., 2018. Datations U-Pb dans les provinces de Grenville et du Supérieur effectuées au GEOTOP en 2016-2017. MERN, GEOTOP; MB 2018-17, 22 pages.
 
DAVID, J., 2020. Datations U-Pb dans les provinces du Supérieur et de Churchill effectuées au GEOTOP en 2017-2018. GEOTOP, MERN; MB 2020-05, 29 pages.
DUBE, C.Y., 1976. Région des rivières Rupert et Marte (territoire de Mistassini) – rapport préliminaire. MRN; DPV 445, 14 pages, 1 plan.
 
PEDREIRA PEREZ, R., DAOUDENE, Y., TREMBLAY, A., BANDYAYERA, D. 2018. Étude structurale et métamorphique du secteur du lac Nemiscau, Sous-province de Nemiscau, Baie-James, Québec : évolution tectonique d’un bassin sédimentaire. Résultats préliminaires. UQAM, MERN. MB 2018-10, 55 pages.
 
PEDREIRA, R., TREMBLAY, A., DAOUDENE, Y., BANDYAYERA, D. 2019. Étude structurale du secteur sud-est de la Sous-province de Nemiscau, Baie-James, Québec; résultats préliminaires. UQAM, MERN. MB 2019-07, 68 pages.
 
PEDREIRA PÉREZ, R., TREMBLAY, A., DAOUDENE, Y., BANDYAYERA, D., 2020. Étude géochimique, structurale et géochronologique de la Sous-province de Nemiscau, Baie-James, Québec : implications quant à l’origine et l’évolution tectonique d’un domaine sédimentaire archéen. UQAM, MERN; MB 2020-07, 97 pages.
 
REMICK, J H. 1963. Géologie de la région de Colomb – Chabouillié – Fabulet, Territoire d’Abitibi. MRN. RP 514, 32 pages et 3 plans.
 
REMICK, J H., AHMEDALI, S T. 1974. Cartes annotées de la région de Fort Rupert (Nouveau Québec). MRN. DP 274, 23 plans.
 
WALLACH, J., 1973. Geology of the Nemiscau lake area, Mistassini Territory. MRN; DP 146, 11 pages, 1 plan.

 

Autres publications

LAVOIE, J., 2017. Sous-province d’Opatica : nouveau territoire pour l’exploration minérale. Rapport, Projet CONSOREM 2016-01. CONSOREM, 85 pages.

Citation suggérée

 

Ministère de l’Énergie et des Ressources naturelles (MERN). Domaine structural de Poisson blanc. Lexique structural du Québec. https://gq.mines.gouv.qc.ca/lexique-structural/domaine-structural-de-poisson-blanc [cité le jour mois année].

Collaborateurs

Première publication

Emmanuel Caron-Côté, géo. M. Sc. emmanuel.caron-cote@mern.gouv.qc.ca (rédaction)

Ghyslain Roy, géo. (coordination); Yannick Daoudene, géo., Ph. D. (lecture critique); Simon Auclair, géo., M. Sc. (révision linguistique); André Tremblay (montage HTML)

 

 

13 octobre 2022