Domaine structural de La Sicotière
Étiquette structurale : DSsic
 

Première publication : 27 octobre 2022
Dernière modification : 7 novembre 2023
Auteur(s)Bandyayera et Daoudene (2018)
MéthodologieDéfini à partir de levés géologiques
AppartenanceProvince du Supérieur / Sous-province de La Grande
Mouvement principalNe s’applique pas
Style de déformationPlissement polyphasé
Faciès métamorphique (faciès moyen lié à la déformation principale)Inférieur des amphibolites

Historique et méthodologie

Le Domaine structural de La Sicotière (DSsic) a été défini par Bandyayera et Daoudene (2018) à la suite d’un levé de cartographie géologique mené en 2017 dans la région du lac Champion. Il coïncide avec la Ceinture du Lac des Montagnes initialement reconnue par Valiquette (1975). Bandyayera et Caron-Côté (2019, 2021 et 2022) ont par la suite étendu le domaine dans les feuillets SNRC 32O11, 32O12, 32O14, 32O15 et 32O16. Lors de la synthèse géologique de la Sous-province de Nemiscau, Bandyayera et al. (2022) l’ont agrandi vers le SW (feuillet 32N07), un secteur qui avait été inclus dans le sous-domaine de Mezières lors des travaux de Bandyayera et Daoudene (2019). Il est à noter que Pedreira et al. (2019 et 2020) ont aussi décrit ce domaine. La description qui suit repose sur les observations géologiques de tous les auteurs cités précédemment ainsi que sur l’analyse de l’imagerie géophysique (D’Amours, 2011).

Le nom de ce domaine provient du lac de La Sicotière (coin NW du feuillet 32N08).

Limites et morphologie

Largeur (km)3 à 16
Longueur (km)210
OrientationAllongement NE-SW

Le Domaine structural de La Sicotière forme un domaine relativement allongé selon une orientation NE-SW (180 km sur 15 km). Il est bordé au nord sur une grande partie de sa longueur par la Zone de cisaillement de Nisk (ZCnsk), qui le sépare des domaines structuraux de Boisrobert, des Plages, de Cramoisy (DScmy) et de Béryl (DSber) (Sous-province de La Grande). Plus localement, il est séparé du Domaine structural de Boisrobert par la Zone de cisaillement de Nemiscau. La bordure SE du domaine est définie par la Zone de cisaillement d’Albanel (ZCalb), qui constitue la frontière de la Sous-province d’Opatica, laquelle est principalement formée dans ce secteur par le Domaine structural de Goulde et, plus localement, par le Domaine structural de Des Champs.

 

Unités stratigraphiques concernées

Les unités stratigraphiques qui composent le Domaine structural de La Sicotière sont : 

Caractéristiques structurales

Le Domaine structural de La Sicotière montre des fabriques structurales appartenant minimalement à trois phases de déformation, soit Sn, Sn+1 et Sn+2. Localement, un litage sédimentaire (S0) est visible dans la Formation de Voirdye

❯ Fabriques principales

Sn = S2

 

Fabriques principalesType de fabriqueDirection (°)Pendage (°)Nombre de mesuresCommentaires
Foliation SnSchistosité et foliation pénétrative; rubanement migmatitique; gneissosité25082347Les pôles des mesures se répartissent en deux groupes opposés sur le stéréogramme. Cette disposition indique que la foliation Sn est plissée à grande échelle, ce que montre aussi la carte des trajectoires de foliation, suggérant que le plan moyen calculé correspond au plan axial d’un pli Pn+1. Les mesures structurales proviennent des feuillets 32N07, 32N08, 32N09, 32O11, 32O12, 32O14 et 32O15 (Bandyayera et Daoudene, 2018a et 2019; Bandyayera et Caron-Côté, 2019 et 2022).
Linéation LnLinéation minérale2406061Les linéations minérales Ln montrent des variations d’orientation importantes.

La fabrique planaire dominante du Domaine structural de La Sicotière est la foliation Sn résultant de la phase de déformation régionale Dn. La foliation Sn affecte la plupart des unités archéennes, à l’exception de certaines unités granitiques tardives telles que la Suite de Kaupanaukau. Cette fabrique très pénétrative se caractérise par un espacement millimétrique des plans de foliation. Aussi bien dans les roches volcaniques du Groupe du Lac des Montagnes que dans les paragneiss de la Formation de Voirdye, la foliation Sn est soulignée par l’orientation préférentielle de minéraux ferromagnésiens tels que la biotite et la hornblende. Dans les unités métasédimentaires les plus alumineuses de la Formation de Voirdye, elle est aussi marquée par l’orientation préférentielle des amas de fibrolite ou des prismes allongés de sillimanite et par l’aplatissement des pœciloblastes de cordiérite. Cette observation suggère que la croissance de cette dernière phase minérale est assez précoce par rapport à la déformation Dn. Enfin, dans les secteurs plus déformés, la foliation Sn est aussi définie par l’aplatissement des grains de quartz et de plagioclase (Bandyayera et Daoudene, 2018).

Là où les paragneiss de la Formation de Voirdye montrent des évidences de fusion partielle, la foliation Sn s’exprime par le rubanement migmatitique. Dans les unités déformées du Complexe de la Hutte (Ahue1), la foliation Sn est variablement développée. Elle est par endroits très bien exprimée et marquée par une gneissosité très nette.

La foliation Sn porte une linéation minérale Ln bien visible, particulièrement dans les ensembles volcaniques du Groupe du Lac des Montagnes. Cette linéation Ln montre généralement un plongement modéré vers le SW.

À l’échelle du Domaine structural de La Sicotière, bien que la foliation Sn semble principalement orientée ENE-WSW avec un fort pendage, son attitude montre une certaine variation. En carte, ces variations de la foliation Sn démontrent l’existence de plissements Pn+1 que l’on associe à la phase Dn+1.

❯ Autres fabriques

La stratification S0 est rarement reconnue sur le terrain. Cependant, elle est localement identifiée dans les paragneiss de la Formation de Voirdye, où l’on observe des alternances de niveaux décimétriques à métriques avec ou sans aluminosilicates (cordiérite et fibrolite-sillimanite) provenant du métamorphisme de lits plus ou moins riches en argiles. Aux endroits où elle est présente, la stratification S0 est transposée parallèlement à la foliation régionale Sn.

Une foliation Sn+1 est observable dans les charnières de plis Pn+1. Dans les flancs de ces plis, on observe localement des porphyroblastes de cordiérite et de sillimanite marquant la foliation Sn+1 avec un léger angle (5 à 10°) par rapport à Sn. Contrairement à la foliation régionale Sn, la schistosité Sn+1 semble affecter l’ensemble des unités archéennes du Domaine structural de La Sicotière. De plus, cette schistosité affecte des intrusions tardives de granite pegmatitique qui sont peu ou pas affectées par la foliation Sn. Bien qu’omniprésente dans le Domaine structural de La Sicotière, la schistosité Sn+1 ne s’exprime pas partout avec la même intensité; notamment, elle est beaucoup plus visible dans les charnières de plis Pn+1.

Contrairement aux domaines voisins, la foliation Sn dans le Domaine structural de La Sicotière est couramment plissée par une schistosité de crénulation Sn+2. Les plans de crénulation montrent un espacement qui varie de ~1 cm dans les roches métasédimentaires et métavolcaniques à quelques centimètres dans les granites pegmatitiques. Dans ces secteurs, la foliation Sn et la schistosité Sn+2 sont généralement orientées à ~40° l’une par rapport à l’autre. Au microscope, la schistosité Sn+2 est par endroits matérialisée par l’orientation préférentielle de minéraux typiquement associés à des conditions métamorphiques de basses températures, comme la chlorite, l’actinote-trémolite ou la séricite (Bandyayera et Daoudene, 2018). À l’échelle du domaine, la schistosité Sn+2 est orientée NNE-SSW et présente un pendage généralement supérieur à 70°.

 

❯ Plis

Régionalement, le Domaine structural de La Sicotière forme une vaste synforme Pn (Valiquette, 1975) plus ou moins bien définie au nord et au sud par la distribution des unités du Groupe du Lac des Montagnes. Cette synforme est essentiellement occupée par les paragneiss de la Formation de Voirdye. Les structures se manifestent également par le plissement du litage primaire S0 dans les roches métavolcaniques et métasédimentaires. Toutefois, les cartes du champ magnétique montrent par endroits des géométries qui pourraient être le résultat d’au moins deux phases de plissement, ce qui est confirmé en carte par les trajectoires de la foliation Sn. Un ou plusieurs plis Pn auraient été plissés par des plis Pn+1 de plan axial NE-SW subparallèle à la schistosité Sn+1. À l’échelle de l’affleurement, les plis Pn+1 sont ouverts à serrés et présentent des axes à fort plongement. Au cœur du domaine, on note aussi une structure anticlinale qui est responsable de la présence de plusieurs dômes de roche gneissique du Complexe de la Hutte (Ahue1). Il est possible que ces structures soient générées par ces plis Pn+1.

Paramètres géométriques des plis régionaux : 

Plis ou famille de plisType (anticlinal, synclinal ou indéterminé)Forme (antiforme ou synforme)Attitude (déversé ou droit)Plan axialAxe de pliPosition (certaine ou probable)Phase de déformationCommentaires
DirectionPendageDirectionPlongement
PnSynclinal InconnueInconnueInconnueProbableDnIl est difficile de déterminer l’orientation initiale des plans axiaux Pn. Cependant, par analogie à ce qui peut être observé dans les domaines structuraux voisins, les plans axiaux Pn avaient probablement à l’origine une orientation approximative E-W.
Pn+1Synformes et antiformesInconnueNE-SWInconnue  ProbableDn+1 

❯ Relations de recoupement

Le Domaine structural de La Sicotière est coupé par des failles tardives orientées NE-SW qui sont mises en évidence à partir de l’analyse des cartes du champ magnétique. Ces failles, qui mesurent de 4 à 7 km de longueur, ont un jeu apparent senestre qui a décalé localement les unités du Groupe du Lac des Montagnes et de la Formation de Voirdye. Toutefois, aucune évidence de terrain ne permet de préciser pour le moment la nature de ces failles.

❯ Cinématique

Ne s’applique pas.

Style de la déformation

Le Domaine structural de La Sicotière montre une architecture structurale complexe qui résulte d’un plissement polyphasé associé à au moins trois phases de déformation. La première phase de déformation, Dn, semble avoir conduit à la formation d’un vaste bassin synclinal occupé en son centre par les roches métasédimentaires de la Formation de Voirdye. Lors de la phase Dn, les zones de cisaillement de Nisk et de Poste Albanel se seraient développées le long de ses bordures nord et sud. Ces structures auraient accommodé des mouvements verticaux inverses et causé l’enfouissement des unités supracrustales du Domaine structural de La Sicotière, plus précisément celles de la Ceinture du Lac des Montagnes, par rapport à celles des sous-provinces de La Grande, au nord, et d’Opatica, au sud.

Dans un second temps, la phase de déformation Dn+1 aurait conduit à une seconde phase de plissement de ce bassin, générant les plis Pn+1 et la foliation de plan axial Sn+1.

Ces deux phases de plissement pourraient expliquer le démembrement à l’échelle du Domaine structural de La Sicotière des unités métavolcaniques du Groupe du Lac des Montagnes qui, par leur nature, sont plus compétentes que les unités métasédimentaires de la Formation de Voirdye. Ces deux phases de plissement semblent aussi avoir entraîné l’exhumation de roches gneissiques sous la forme de dômes structuraux associés notamment à la présence de gneiss tonalitique du Complexe de la Hutte (Ahue1).

Une troisième phase de déformation Dn+2 serait responsable de la formation du clivage de crénulation Sn+2 orienté NNE-SSW. Les contraintes nécessaires à la formation de cette fabrique Sn+2 sont compatibles avec l’orientation NE-SW des zones de cisaillement de Nisk et de Poste Albanel, qui montrent des mouvements décrochants obliques. Il est important de noter que la majorité des linéations observées dans ces zones de cisaillement sont obliques et correspondraient à la phase de déformation Dn+2.

Caractéristiques métamorphiques

Le Domaine structural de La Sicotière se caractérise par des variations importantes des assemblages métamorphiques (Bandyayera et Daoudene, 2018). Ces assemblages, qui dépendent de la nature de la roche, sont associés à des conditions métamorphiques qui diffèrent sensiblement d’un secteur à l’autre du domaine. Le pic métamorphique régional est associé à la fabrique Sn.

La Formation de Voirdye contient des paragneiss à biotite-cordiérite-sillimanite, un assemblage minéralogique typique du faciès supérieur des amphibolites. Dans ces roches, la cordiérite forme communément des pœciloblastes déformés et orientés parallèlement à la foliation. Cette caractéristique semble indiquer que la croissance des grains de cordiérite est précoce par rapport à la déformation Dn. La sillimanite, qui se présente sous la forme d’amas de fibrolite ou, plus rarement, de prismes aciculaires idiomorphes, souligne la foliation Sn. On observe aussi localement des porphyroblastes de cordiérite et de sillimanite marquant la foliation Sn+1 et qui sont orientés avec un léger angle par rapport à la foliation Sn.

Les roches métavolcaniques mafiques du Groupe du Lac des Montagnes montrent une fabrique Sn principalement associée à des assemblages à hornblende-plagioclase et, localement, à actinote-trémolite-biotite-épidote, ce qui indique respectivement des conditions métamorphiques du faciès des amphibolites et du faciès supérieur des schistes verts.

L’assemblage minéralogique à chlorite-actinote-trémolite-séricite, observé au microscope et associé à la schistosité de crénulation Sn+2, indique que les conditions métamorphiques durant la phase de déformation Dn+2 étaient de plus basses températures, soit au faciès des schistes verts.

Les variations des conditions métamorphiques au sein du Domaine structural de La Sicotière pourraient être liées à son architecture, laquelle résulterait de l’interaction d’au moins deux phases de déformation. Selon cette hypothèse, la seconde phase de plissement durant l’événement Dn+1 pourrait avoir plissé les isogrades antérieurement développés durant la phase Dn (Bandyayera et Daoudene, 2019). Les principales zones de cisaillement de la région semblent aussi avoir joué un rôle important dans la distribution des faciès métamorphiques. En effet, celles-ci semblent coïncider avec les secteurs où les roches mafiques montrent des assemblages de minéraux métamorphiques de plus basses températures. Dans ces secteurs, la hornblende est communément rétromorphosée en actinote-trémolite, la biotite est chloritisée et l’épidote se superpose à la foliation principale Sn (Bandyayera et Daoudene, 2019). Cet épisode rétrométamorphique pourrait être associé à la circulation de fluides tardifs le long de ces structures.

Altérations

À venir.

Caractéristiques géophysiques

Comparativement aux domaines voisins, le Domaine structural de La Sicotière se caractérise par une signature géophysique complexe et hétérogène. Le carte du gradient vertical du champ magnétique total résiduel montre que ce domaine est formé d’unités dont les susceptibilités magnétiques sont très contrastées. Les anomalies fortement positives reflètent probablement la présence de niveaux discontinus de formation de fer ou de corps intrusifs mafiques et ultramafiques très magnétiques. À l’opposé, les secteurs de faible susceptibilité magnétique sont principalement associés aux paragneiss de la Formation de Voirdye. Entre ces régions de faible et de forte susceptibilité magnétique, les secteurs montrant une susceptibilité intermédiaire se distinguent par des signatures complexes. Dans ceux-ci, les linéaments magnétiques se superposent grossièrement aux trajectoires de la foliation Sn et dessinent des plis Pn+1 vraisemblablement associés à la phase de déformation Dn+1.

Selon la nomenclature de Lavoie (2017) et les données du levé aéromagnétique régional (D’Amours, 2011), le Domaine structural de La Sicotière présente une texture magnétique isotrope lisse.

Repères chronologiques

 

Un échantillon de gneiss tonalitique du Complexe de la Hutte provenant du feuillet 32O12 (éch. 2018-CS-4142A) a livré un âge métamorphique de 2691 ±11 Ma (David, 2020). Cet épisode correspond au pic métamorphique régional associé à la fabrique Sn. L’échantillon de granite pegmatitique 2018-DB-1104A a livré un âge de cristallisation de 2642 ±20 Ma (David, 2020), ce qui donne une indication de l’âge de la fabrique Sn+1. Cependant, ce dernier âge est à prendre avec précaution en raison de la qualité douteuse des zircons provenant de cet échantillon.

Le Domaine structural de La Sicotière est coupé par les Dykes de Mistassini, qui ne présentent aucune évidence de déformation. L’âge de mise en place de ces dykes (2515 à 2503 Ma; Hamilton, 2009; Davis et al., 2018) représente l’âge minimal du dernier épisode tectonique ayant affecté le domaine.

Références

Publications accessibles dans Sigéom Examine

BANDYAYERA, D., CARON-CÔTÉ, E., 2019. Géologie de la région du lac des Montagnes, sous-provinces de La Grande, de Nemiscau et d’Opatica, Eeyou Istchee Baie-James, Québec, Canada. MERN; BG 2019-03, 1 plan.

BANDYAYERA, D., CARON-CÔTÉ, E., 2021. Géologie de la région du lac Le Vilin, sous-provinces de La Grande et d’Opatica, Eeyou Istchee Baie-James, Québec, Canada. MERN; BG 2022-03, 1 plan.

BANDYAYERA, D., CARON-CÔTÉ, E., 2022. Géologie de la région du lac de la Marée, sous-provinces d’Opatica et de La Grande, Eeyou Istchee Baie-James, Québec, Canada. MERN; BG 2023-03, 1 plan.

BANDYAYERA, D., DAOUDENE, Y., 2018. Géologie de la région du lac Champion, sous-provinces de La Grande et de Nemiscau, à l’est de Waskaganish, Eeyou Istchee Baie-James, Québec, Canada. MERN; BG 2018-06, 2 plans.

BANDYAYERA, D., DAOUDENE, Y., 2019. Géologie de la région du lac Nemiscau, secteur ouest de la rivière Rupert (SNRC 32N06, 32N07 et 32N11). MERN; RG 2018-03, 58 pages, 1 plan.

D’AMOURS, I., 2011. Levé magnétique aéroporté de la partie sud-est de la Sous-province de Nemiscau et de la partie nord de la Sous-province d’Opinaca, Baie-James, Québec. MRNF; DP 2011-02, 8 pages, 92 plans.

DAVID, J., 2020. Datations U-Pb dans les provinces du Supérieur et de Churchill effectuées au GEOTOP en 2018-2019. MERN, GEOTOP; MB 2020-01, 30 pages.

DAVIS, D. W., LAFRANCE, I., GOUTIER, J., BANDYAYERA, D., TALLA TAKAM, F., GIGON, J., 2018. Datations U-Pb dans les provinces de Churchill et du Supérieur effectuées au JSGL en 2013-2014. MERN; RP 2017-01, 63 pages.

PEDREIRA PÉREZ, R., TREMBLAY, A., DAOUDENE, Y., BANDYAYERA, D., 2019. Étude structurale du secteur sud-est de la Sous-province de Nemiscau, Baie-James, Québec; résultats préliminaires. UQAM, MERN; MB 2019-07, 68 pages.

PEDREIRA PÉREZ, R., TREMBLAY, A., DAOUDENE, Y., BANDYAYERA, D., 2020. Étude géochimique, structurale et géochronologique de la Sous-province de Nemiscau, Baie-James, Québec : implications quant à l’origine et l’évolution tectonique d’un domaine sédimentaire archéen. UQAM, MERN; MB 2020-07, 97 pages.

VALIQUETTE, G., 1975. Rapport géologique, région de la rivière Nemiscau. MRN; RG 158, 171 pages, 3 plans.

 

Citation suggérée

Ministère des Ressources naturelles et des Forêts (MRNF). Domaine structural de La Sicotière. Lexique structural du Québec. https://gq.mines.gouv.qc.ca/lexique-structural/domaine-structural-de-la-sicotiere [cité le jour mois année].

Collaborateurs

Première publication

Yannick Daoudene, géo., Ph. D. yannick.daoudene@mrnf.gouv.qc.ca; Emmanuel Caron-Côté, géo., M. Sc. emmanuel.caron-Cote@mrnf.gouv.qc.ca (rédaction)

Ghyslain Roy, géo. (coordination); Claude Dion, géo., M. Sc. (lecture critique); Simon Auclair, géo., M. Sc. (révision linguistique); André Tremblay (montage HTML).

 
27 octobre 2022