Dernière modification :
Auteur(s) : | Simard et al., 2001 |
Âge : | Néoarchéen |
Stratotype : | Aucun |
Région type : | Région de Maricourt (feuillet SNRC 24D) |
Province géologique : | Province du Supérieur |
Subdivision géologique : | Sous-provinces de Minto et de La Grande |
Lithologie : | Roches intrusives intermédiaires à ultramafiques |
Catégorie : | Lithodémique |
Rang : | Suite |
Statut : | Formel |
Usage : | Actif |
Aucune
Historique
La Suite de Châteauguay a été introduite dans la région de Maricourt (feuillet 24D; Simard et al., 2001, 2002; MRNF, 2010b) pour décrire des dykes de gabbro et de roches ultramafiques de quelques centaines de mètres de largeur. Elle a alors été divisée en deux unités informelles : l’unité Achg1 qui se compose de dykes de composition mafique à ultramafique, et l’unité Achg2 constituée de dykes de gabbro à pyroxène (Simard et al., 2001, 2002). La Suite de Châteauguay a été prolongée vers l’ouest dans les régions des lacs des Loups Marins (feuillet 34A; Gosselin et al., 2001, 2002b; MRNF, 2010g), du lac Bienville (feuillet 33P; Gosselin et al., 2002a, 2004, MRNF, 2010f), du lac Montrochand (feuillet 33O; Roy et al., 2004, 2006; MRNF, 2010e), du réservoir Laforge 1 (feuillet 33I; MRNF, 2010c; Simard et Lafrance, 2011b, d) et du lac Kinglet (feuillet 33J; MRNF, 2010d; Simard et Lafrance, 2010, 2011a, c), mais sans les divisions informelles. Par ailleurs, de la diorite et de la diorite quartzifère ont été assignées à la suite dans la région des lacs des Loups Marins (Gosselin et al., 2001, 2002b), alors que des roches dioritiques semblables ont plutôt été assignées à la Suite de Coursolles dans la région du lac Bienville (Gosselin et al., 2002a, 2004). Dans cette même région, une proportion importante de gabbronorite a été incluse dans la Suite de Châteauguay par Gosselin et al. (2002a, 2004). La Suite de Châteauguay a également été reconnue dans la région de la rivière Sérigny (feuillets 24C et 23N; Simard et al., 2007; Simard et al., 2009; MRNF, 2010a), à l’est des régions de Maricourt et du lac Gayot. Simard et al. (2009) ont reconnu les unités informelles introduites par Simard et al. (2001, 2002) et ont divisé l’unité nAchg1 en trois sous-unités informelles afin de préciser les différentes compositions ou structures rencontrées dans cette unité.
Description
La Suite de Châteauguay est constituée de roches intrusives de composition intermédiaire à ultramafique, les intrusions mafiques étant les plus abondantes (Simard et al., 2001, 2002; Gosselin et al., 2001, 2002b; Gosselin et al., 2002a, 2004; Roy et al., 2004, 2006; Simard et al., 2007; Simard, 2008; Simard et al., 2008; Simard et al., 2009; MRNF, 2010a-g; Simard et Lafrance, 2010, 2011a-d). Dans sa partie orientale (feuillets 24D, 24C et 23N), la suite est divisée en deux unités informelles de gabbro à hornblende, pyroxénite et péridotite (nAchg1), incluant localement de la diorite (nAchg1a et nAchg1b) et du gabbro à biotite-pyroxène ± hornblende (nAchg2) (Simard et al., 2001, 2002; Simard et al., 2007; Simard et al., 2009; MRNF, 2010a-b). Dans sa portion occidentale (feuillets 33I, 33J, 33O, 33P et 34A; MRNF, 2010c-g; Simard et Lafrance, 2010, 2011a-b), Gosselin et al. (2001, 2002b), Gosselin et al. (2002a, 2004), Roy et al. (2004, 2006) et Simard et Lafrance (2011c-d) n’ont pas conservé ces divisions, de sorte que les roches décrites dans l’unité indifférenciée (nAchg) pourraient correspondre à celles décrites dans les unités nAchg1 et nAchg2.
D’un point de vue géochimique, les roches mafiques montrent une composition basaltique, localement fortement magnésienne à komatiitique et, sauf exception, une affinité tholéitique (Simard et al., 2001, 2002; Gosselin et al., 2001, 2002b; Gosselin et al., 2002a, 2004; Roy et al., 2004, 2006; Simard et Lafrance, 2011d). Seules les analyses chimiques de la région du lac Montronchand (feuillet 33O) indiquent une affinité calco-alcaline, mais les données suggèrent également une forte contamination crustale de la source relativement primitive de la roche mafique (Roy et al., 2004, 2006).
Les intrusions mafiques et ultramafiques assignées à la Suite de Châteauguay offrent un potentiel intéressant pour la découverte de minéralisations en Ni-Cu-Co-EGP similaires à celles observées dans les intrusions de la Suite de Qullinaaraaluk (Simard et al., 2001, 2002; Gosselin et al., 2001, 2002b; Gosselin et al., 2002a, 2004; Roy et al., 2004, 2006; Simard et al., 2009; Simard et Lafrance, 2011d). Les sites d’intérêt économique correspondent à des zones rouillées enrichies en sulfures disséminés (≤10 %).
Suite de Châteauguay non subdivisée (nAchg) : roches intrusives mafiques à ultramafiques
Dans la portion ouest de la Suite de Châteauguay (feuillets 34A, 33P, 33O, 33I et 33J), les roches intrusives mafiques à ultramafiques sont regroupées en une seule unité indifférenciée (nAchg) (Gosselin et al., 2001, 2002b; Gosselin et al., 2002a, 2004; Roy et al., 2004, 2006; Simard, 2008; Simard et al., 2008; MRNF, 2010c-g; Simard et Lafrance, 2010, 2011a-d). Ces roches forment des masses restreintes, des lambeaux isolés, des intrusions tabulaires ou des dykes d’un décimètre à quelques centaines de mètres de largeur et qui peuvent atteindre plusieurs kilomètres de longueur. Elles comprennent du gabbro, de la gabbronorite et des roches ultramafiques, dont de la pyroxénite et de la hornblendite.
Le gabbro (gabbronorite) constitue la lithologie dominante (Gosselin et al., 2001, 2002b; Gosselin et al., 2002a, 2004; Roy et al., 2004, 2006; Simard et Lafrance, 2011c-d). Le gabbro est généralement mésocrate à mélanocrate, localement leucocrate, gris à gris foncé (noirâtre) à vert foncé en cassure fraîche et vert à brunâtre en surface altérée. La roche présente une granulométrie fine à grossière et une structure granoblastique bien développée sur laquelle se superposent de gros cristaux pœcilitiques de hornblende pouvant atteindre 3 cm de diamètre. Elle est généralement massive ou faiblement foliée et homogène. Le gabbro est habituellement coupé par un abondant matériel granitique blanchâtre, communément pegmatitique, d’épaisseur centimétrique à décimétrique, qui confère à la roche un aspect bréchique ou agmatitique typique (Gosselin et al., 2001, 2002b; Gosselin et al., 2002a, 2004; Roy et al., 2004, 2006). Localement, des enclaves d’amphibolite et de diorite ont également été observées dans le gabbro.
En lame mince, le gabbro est essentiellement composé de plagioclase, de hornblende verte, de clinopyroxène et de biotite brune (Gosselin et al., 2001, 2002b; Gosselin et al., 2002a, 2004; Roy et al., 2004, 2006; Simard et Lafrance, 2011c-d). Le plagioclase est séricitisé et des porphyroclastes sont localement préservés. Du quartz peut être présent à l’occasion (<5 %). Les minéraux ferromagnésiens représentent 35 à 75 % de la roche. La hornblende forme de grands (1 à 4 cm) pœciloblastes ou des couronnes autour du pyroxène; le plagioclase et le clinopyroxène se trouvent en inclusions dans ces gros cristaux pœcilitiques. La biotite se concentre autour des amas de hornblende et de pyroxène. De l’orthopyroxène a été observé localement; ce dernier peut même représenter jusqu’à 30 % de la roche, celle-ci devenant alors de la gabbronorite (p. ex. Gosselin et al., 2002a, 2004). L’épidote (<5 %) et l’apatite sont disséminées au voisinage des minéraux ferromagnésiens. Les principaux minéraux opaques observés sont la magnétite, l’ilménite et la pyrite. La proportion de magnétite est très variable, passant de quelques grains disséminés à 5 % du volume de la roche, ce qui explique la susceptibilité magnétique variable, par endroits élevée, de la roche.
De la diorite est observée dans la région des lacs des Loups Marins (feuillet 34D; Gosselin et al., 2001, 2002b). Sur le terrain, elle se présente comme le gabbro auquel elle est parfois associée. Elle est généralement plus pâle en raison d’un pourcentage de minéraux ferromagnésiens moins élevé (20 à 40 %). La roche contient les mêmes constituants que le gabbro, sauf que le pourcentage de quartz peut atteindre 10 %, ce qui démontre que la composition globale peut varier de celle d’une diorite à celle d’une diorite quartzifère.
La roche ultramafique est beaucoup moins répandue et, puisqu’il s’agit principalement d’affleurements isolés, la relation avec le gabbro n’a pas été établie de façon précise (Gosselin et al., 2001, 2002b). Il s’agit de hornblendite, de pyroxénite ou de péridotite qui, comme le gabbro, sont couramment coupées par un matériel d’aspect granitique. La clinopyroxénite est gris noirâtre avec une patine gris verdâtre foncé et de granulométrie moyenne à grossière (Simard et Lafrance, 2011d). Elle se compose principalement de clinopyroxène amphibolitisé et d’une proportion moindre de plagioclase séricitisé. Les cristaux de hornblende pœcilitiques sont omniprésents et constituent à certains endroits l’essentiel de la roche.
Les roches de la Suite de Châteauguay possèdent une structure granoblastique bien développée qui témoigne d’une forte recristallisation associée à un ou plusieurs épisodes de métamorphisme, principalement au faciès des amphibolites, mais pouvant atteindre le faciès des granulites (Roy et al., 2004, 2006; Simard et Lafrance, 2011c-d). Les roches sont également affectées par une altération tardive qui transforme les assemblages de minéraux primaires, comme en témoignent les observations pétrographiques mentionnées ci-dessus.
Suite de Châteauguay 1 (nAchg1) : gabbro à hornblende, pyroxénite et péridotite
L’unité nAchg1 est représentée par quelques dykes de gabbro et de roche ultramafique localisés dans le centre est, le centre nord et le coin NW de la région de Maricourt (feuillet 24D; Simard et al., 2001, 2002; MRNF, 2010b). Ces dykes possèdent une épaisseur qui varie de quelques mètres à quelques centaines de mètres; certains d’entre eux ont été suivis sur quelques kilomètres de longueur. Selon les relations de terrain, la roche ultramafique est précoce par rapport au gabbro.
La roche ultramafique est gris foncé à noirâtre en cassure fraîche, gris verdâtre à gris brunâtre en patine d’altération, de granulométrie moyenne et très magnétique (Simard et al., 2001, 2002). Sa composition varie d’une pyroxénite à une péridotite. Elle peut contenir des enclaves de tonalite de quelques mètres et des zones sulfurées et rouillées de 0,3 à 2,0 m de largeur. En lame mince, la pyroxénite renferme ~75 % de grains de clinopyroxène communément maclés et partiellement à fortement altérés en hornblende verte. Elle contient également des grains xénomorphes de biotite et de hornblende verte entre les autres minéraux ferromagnésiens. Le plagioclase est sous forme de plages en continuité optique qui remplissent les interstices entre les autres constituants de la roche. De la magnétite et de l’orthopyroxène sont également présents en moindres proportions. La péridotite se compose d’un pourcentage à peu près égal de reliques d’olivine entièrement serpentinisées et de larges grains de hornblende verte qui pourraient provenir de l’altération du clinopyroxène. Elle contient également près de 10 % de magnétite en petits grains disséminés et en remplissage des fractures des grains d’olivine. Quelques reliques d’orthopyroxène ont été observées.
Vers l’est, dans la région de la rivière Sérigny (feuillets 24C et 23N; Simard et al., 2007; MNRF, 2010a), Simard et al. (2009) ont assigné des roches de composition dioritique à l’unité nAchg1 et ont divisé cette unité en trois sous-unités informelles afin de préciser les différences compositionnelles ou structurales rencontrées dans celle-ci. La distinction entre les sous-unités nAchg1a et nAchg1b est principalement structurale.
Suite de Châteauguay 1a (nAchg1a) : diorite et gabbro, à biotite-hornblende, foliés
L’unité nAchg1a est constituée de diorite et de gabbro à biotite-hornblende. La roche est leucocrate ou mésocrate et magnétique (Simard et al., 2009). Elle est grise ou gris verdâtre, foliée, de granulométrie fine à moyenne et présente une structure granoblastique bien développée. En lame mince, la roche montre une composition dioritique ou, plus rarement gabbroïque. Elle se compose de plagioclase, de minéraux ferromagnésiens (20 à 45 %), d’une proportion moindre de quartz (≤5 %) et, en plusieurs endroits, de feldspath potassique en phase interstitielle (≤7 %). Les minéraux ferromagnésiens consistent en cristaux de hornblende verte prismatiques ou xénomorphes (10 à 30 %), en bâtonnets de biotite brunâtre (6 à 15 %), en feuillets de chlorite (≤10 %) et, localement, en clinopyroxène et actinote. Une séricitisation importante du plagioclase accompagnée d’une chloritisation de la biotite est commune. Le sphène et l’apatite représentent jusqu’à 2 % des constituants minéralogiques. Les autres minéraux accessoires sont l’épidote, la magnétite, la calcite, le zircon et l’allanite. La roche de la sous-unité nAchg1a est typiquement recristallisée, produisant une structure granoblastique assez bien développée.
Suite de Châteauguay 1b (nAchg1b) : diorite et gabbro, à biotite-hornblende, massifs à faiblement foliés
Tout comme l’unité nAchg1a, l’unité nAchg1b est constituée de diorite et de gabbro à biotite-hornblende. La roche est leucocrate ou mésocrate et magnétique (Simard et al., 2009). Cependant, la roche est gris verdâtre ou gris brunâtre, de granulométrie moyenne à grossière, massive à faiblement foliée et peu ou pas recristallisée. Les caractéristiques pétrographiques sont les mêmes que celles de l’unité nAchg1a, exception faite d’une structure ignée mieux préservée et d’une proportion un peu plus importante de minéraux ferromagnésiens (30 à 45 %).
Suite de Châteauguay 1c (nAchg1c) : péridotite, pyroxénite et hornblendite
Suite de Châteauguay 2 (nAchg2) : gabbro à biotite-pyroxène ± hornblende, massif
L’unité nAchg2 est formée de dykes de gabbro de quelques centaines de mètres d’épaisseur localisés dans la partie SW de la région de Maricourt (feuillet 24D; Simard et al., 2001, 2002; MRNF, 2010b) et dans le centre ouest de la région de la rivière Sérigny (feuillet 23N13; Simard et al., 2009; MRNF, 2010a). La roche est gris verdâtre en cassure fraîche, brunâtre en surface d’altération, de granulométrie fine à moyenne, d’aspect massif, de forte susceptibilité magnétique et caractérisée par la présence de pyroxènes (Simard et al., 2001, 2002; Simard et al., 2009). Elle est composée de 40 à 50 % de grains de plagioclase, 20 à 40 % de grains de clinopyroxène légèrement altérés en hornblende verte, 10 à 20 % de feuillets de biotite brun foncé à brun rougeâtre et <5 % d’orthopyroxène. L’ensemble est doté d’une structure bien cristallisée dont les grains sont idiomorphes à hypidiomorphes et peu altérés, ce qui contraste avec le gabbro de l’unité nAchg1 dont la structure est plutôt constituée de grains xénomorphes très altérés (Simard et al., 2001, 2002). Les minéraux accessoires les plus communs sont l’apatite, le sphène, la magnétite en petits grains disséminés (~1 %), la chlorite, l’épidote et l’allanite (Simard et al., 2001, 2002; Simard et al., 2009).
Épaisseur et distribution
Les roches de la Suite de Châteauguay forment des dykes et des intrusions tabulaires de quelques centaines de mètres d’épaisseur sur quelques kilomètres de longueur (Simard, 2008), dans la partie centre sud et SW de la Sous-province de Minto (feuillets 23N, 24C, 24D, 33I, 33J, 33O, 33P et 34A). Elles sont particulièrement concentrées dans les feuillets 33P et 34A.
Datation
Relations stratigraphiques
La position stratigraphique de la Suite de Châteauguay est incertaine (Simard, 2008). Elle coupe les suites tonalitiques de Favard (2750 à 2740 Ma) et de Coursolles (2760 à 2750 Ma) (Simard et al., 2001, 2002) et se trouve en enclaves dans la granodiorite de la Suite de Desbergères (2720 à 2710 Ma) (Gosselin et al., 2001, 2002b). Gosselin et al. (2002a, 2004) suggèrent que la diorite et la diorite quartzifère assignées à la Suite de Châteauguay appartiendraient plutôt à une unité de diorite de la Suite de Coursolles. Ces auteurs mentionnent que le gabbro et la gabbronorite assignés à la Suite de Châteauguay pourraient être, du moins en partie, équivalents aux intrusions charnockitiques de la Suite de Loups Marins (2735 à 2720 Ma). Certaines intrusions mafiques et ultramafiques d’aspect massif de la Suite de Châteauguay pourraient être équivalentes à celles de la Suite de Qullinaaraaluk (2705 Ma) (Simard, 2008). Les caractéristiques lithologiques suggèrent une équivalence entre les suites de Châteauguay et de Bacqueville (Simard et al., 2008). Ces deux unités se seraient mis en place durant la période comprise entre 2740 Ma et 2710 Ma.
Paléontologie
Ne s’applique pas.
Références
Publications accessibles dans SIGÉOM Examine
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Citation suggérée
Ministère de l’Énergie et des Ressources naturelles (MERN). Suite de Châteauguay. Lexique stratigraphique du Québec. https://gq.mines.gouv.qc.ca/lexique-stratigraphique/province-du-superieur/suite-de-chateauguay [cité le jour mois année].
Collaborateurs
Première publication |
Céline Dupuis, géo., Ph. D. celine.dupuis@mern.gouv.qc.ca (rédaction) Mehdi A. Guemache, géo., Ph. D. (coordination et lecture critique); Simon Auclair, géo., M. Sc. (révision linguistique); André Tremblay (montage HTML). |