Complexe de Lilois
Étiquette stratigraphique : [narc]loi
Symbole cartographique : nAloi

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Première publication :  
Dernière modification : 

 

 
Subdivision(s) informelle(s)
La numérotation ne reflète pas nécessairement la position stratigraphique.
 
nAloi3 Paragneiss et métatonalite
nAloi2 Paragneiss migmatitique à biotite-grenat ± pyroxène
nAloi2b Paragneiss migmatitique (33 à 66 % de mobilisat) à biotite-grenat ± pyroxène
nAloi2a Paragneiss migmatitique (<33 % de mobilisat), biotite-grenat ± pyroxène
nAloi1 Paragneiss migmatitique à biotite-pyroxène ± grenat
nAloi1b Paragneiss migmatitique (33 à 66 % de mobilisat) à biotite-pyroxène ± grenat
nAloi1a Paragneiss migmatitique (<33 % de mobilisat) à biotite-pyroxène ± grenat
 
Auteur(s) :Simard et al., 2015
Âge :Néoarchéen
Stratotype :Aucun
Région type :Secteur du lac Lilois (feuillet SNRC 23J)
Province géologique :Province du Supérieur
Subdivision géologique :Sous-province d’Ashuanipi
Lithologie :Roches métasédimentaires
Catégorie :Lithodémique
Rang :Complexe
Statut :Formel
Usage :Actif

Historique

Simard et al. (2015) ont introduit le Complexe de Lilois pour désigner une importante unité de paragneiss localisée dans le NE de la Sous-province d’Ashuanipi. Cette unité est caractérisée par la présence de nombreuses formations de fer dont plusieurs sont aurifères. Ces paragneiss migmatitiques avaient été décrits lors de projets de cartographie comme des paragneiss (Lapointe, 1986, 1989; Chevé et Brouillette, 1988; Percival, 1993; Bilodeau et Clark, 2002a-b; Bilodeau et al., 2002) et des métatexites (Chevé et Brouillette, 1990, 1992a-b, 1995; Bilodeau et al., 2004, 2005;  Bilodeau et al., 2008), et assignés à différentes unités lithodémiques ou lithologiques (voir le tableau ci-dessous qui présente les équivalences entre ces différentes unités). Chevé et Brouillette (1988, 1992a-b, 1995) ont divisé les métatexites en plusieurs unités en fonction de la granulométrie du paragneiss, de l’abondance du grenat et de l’orthopyroxène, de la présence ou non de niveaux de diatexite ou de tonalite ainsi que de la proportion du mobilisat (leucosome).

Simard et al. (2015) ont réassigné les paragneiss au Complexe de Lilois et ont regroupé les différentes subdivisions en trois unités qui respectent la nomenclature de Percival (1993) : du paragneiss migmatitique à biotite-pyroxène ± grenat (nAloi1), du paragneiss migmatitique à biotite-grenat ± pyroxène (nAloi2) et du paragneiss et de la métatonalite interstratifiés (nAloi3). Les unités nAloi1 et nAloi2 ont chacune été subdivisées en deux sous-unités en fonction de l’abondance du leucosome selon les critères proposés par Chevé et Brouillette (1995), soit les sous-unités nAloi1a et nAloi2a, qui comportent moins de 33 % de leucosome, et nAloi1b et nAloi2b, avec 33 à 66 % de leucosome. Les roches constituées de plus de 66 % de leucosome ont été incluses dans les unités de diatexite de la Suite d’Opiscotéo (Simard et al., 2015).

Unités actuellesSimard et al. (2015)Simard et al. (20009a-b)Bilodeau et al. (2004-2005); Bilodeau et Clark (2008)Bilodeau et Clark (2002e); Bilodeau et al. (2002)Bilodeau et Clark (2002a-d)Chevé et Brouillette (1995)Percival (1993)Chevé et Brouillette (1990, 1992a-b)Lapointe (1989)Chevé et Brouillette (1988)Lapointe (1986)
nAloi1Aloi1   A ASH22 (Domaine d’Ashuanipi)11, 14 (Complexe de Rivière du Sable)ApM-2, M-5   
nAloi1a  Asab2a (Complexe de Rivière du Sable)Asab3a  (Complexe de Rivière du Sable)11a, 14aM-2a, M-5b   
nAloi1b Agrs1 (Complexe de Grosbois)Asab2b 11b, 14bM-2b, M-5b   
nAloi2Aloi2   10, 13M-1, M-41 et 2 (Complexe de gneiss)B-1 (Complexe « B »)1 – PGN
nAloi2aAloi2aAgrs3Asab2eAsab2e, Asab1b, Asab3d10a, 13aM-1a, M-4a B-1a 
nAloi2bAloi2bAgrs1Asab2fAsab3c10b, 13bM-1b, M-4b B-1b 
nAloi3Aloi3   A ASH24 Ai    

 

Description

Les paragneiss migmatitiques montrent un rubanement hétérogène et irrégulier, millimétrique à métrique, produit par l’alternance de bandes de paléosome grisâtre (paragneiss) et de leucosome blanchâtre (Simard et al., 2015). Le paléosome est une roche foliée, de granulométrie fine à moyenne, qui présente une structure granoblastique généralement bien définie. Il renferme de 10 à 30 % de minéraux ferromagnésiens, principalement de la biotite, du pyroxène et du grenat. Les études géochimiques suggèrent que les paragneiss proviendraient de grauwacke et de shale (Lapointe, 1996). À certains endroits, le paragneiss montre un rubanement compositionnel interprété comme les reliques du litage primaire (Percival et al., 1992; Lapointe, 1996). Chevé et Brouillette (1988, 1990, 1992a, b) décrivent deux générations de leucosome. La première (type I), à granulométrie moyenne (2 à 5 mm), forme des bandes millimétriques à centimétriques parallèles à la foliation du paragneiss. La seconde (type II), plus grossière et localement pegmatitique, se présente en injections décimétriques à métriques, concordantes ou discordantes par rapport à la foliation et à la première génération de leucosome. Le leucosome exhibe en plusieurs endroits des relations de recoupement et des plissements très complexes (plis ptygmatiques et de fluage), suggérant la succession de plusieurs événements de migmatitisation.

Le Complexe de Lilois comprend trois divisions informelles : du paragneiss migmatitique à biotite-pyroxène ± grenat (nAloi1), du paragneiss à biotite-grenat ± pyroxène (nAloi2) et des paragneiss et métatonalite interstratifiées (nAloi3). Les unités nAloi1 et nAloi2 ont été subdivisées en deux sous-unités en fonction de l’abondance du mobilisat en respectant les subdivisions de Chevé et Brouillette (1988, 1990, 1992a, b, 1995), soit <33 % de mobilisat (nAloi1a et nAloi2a) et 33 à 66 % de mobilisat (nAloi1b et nAloi2b). Localement, les unités nAloi1 et nAloi2 alternent en niveaux métriques à décamétriques non cartographiables à l’échelle 1/50 000 (unité M-3 de Chevé et Brouillette, 1990, 1992a,b).

Le Complexe de Lilois contient aussi quelques niveaux métriques d’amphibolite associés au paragneiss. Les formations de fer sont présentes dans les trois unités du Complexe de Lilois (nAloi1 à nAloi3; Simard et al., 2015). Elles forment des niveaux boudinés et rouillés de 5 dm à 5 m d’épaisseur dans les paragneiss. Il s’agit principalement de formations de fer à silicates qui présentent un rubanement millimétrique à centimétrique et des plissements intrafoliaux. Plusieurs sont aurifères (p. ex. zone minéralisée Lac Lilois; Lapointe, 1996; Clark et Wares, 2004, 2006; Simard et al., 2015).

Complexe de Lilois 1 (nAloi1) : Paragneiss migmatitique à biotite-pyroxène ± grenat

L’unité nAloi1 est constituée de paragneiss migmatitique à biotite-pyroxène ± grenat (Chevée et Brouillette, 1990, 1992a, b). Le grenat (<5 %) est communément disséminé dans le mésosome, tandis que le leucosome en est dépourvu. À la différence de l’unité nAloi2, les grenats poeciloblastiques sont rares et, localement, leur absence constitue la caractéristique de terrain privilégiée pour distinguer les unités grenatifères (nAloi2) des unités faiblement grenatifères (nAloi1). Le mésosome contient 20 à 55 % de plagioclase, 15 à 50 % de quartz, 5 à 20 % de pyroxène (orthopyroxène et/ou clinopyroxène), 5 à 15 % de biotite, ainsi que des proportions variables mais généralement très faibles (~1 à 3 %) de feldspath potassique (microcline essentiellement) (Chevé et Brouillette, 1992b). Des minéraux opaques (<0,5 %), de l’apatite (~0,5 %) et quelques grains de zircon complètent l’assemblage minéralogique.

L’unité nAloi1 est affectée, à divers degrés, par l’ouralitisation des pyroxènes et la séricitisation du plagioclase (Chevé et Brouillet, 1990, 1992b). Plus localement, de la hornblende verte pseudomorphose quelques plages micrométriques de pyroxène. La coloration gris-verdâtre plus ou moins intense du mésosome de l’unité suggère des variations du rapport biotite versus amphibole et/ou pyroxène. Une diminution prononcée de ce rapport conduit localement à l’apparition de niveaux décimétriques verdâtres essentiellement composés de feldspath, de quartz et d’amphibole et/ou de pyroxène. Une structure granoblastique caractérisée par des pyroxènes « en atoll » et en chaînettes est observée dans quelques mésosomes au rapport pyroxène vs biotite élevé. Cette structure résulte de la nucléation et de la croissance des pyroxènes au niveau des points triples de la matrice quartzofeldspathique.

Complexe de Lilois 1a (nAloi1a) : Paragneiss migmatitique (<33 % de mobilisat) à biotite-pyroxène ± grenat

L’unité nAloi1a est constituée de paragneiss à biotite-pyroxène ± grenat contenant jusqu’à 33 % de leucosome. Le leucosome de première génération (type I) est dominant (10 à 20 %); le leucosome de seconde génération (type II) est plus limité (généralement quelques pourcents, toujours <15 % du volume total) (Chevé et Brouillette, 1990, 1992a, b).

Complexe de Lilois 1b (nAloi1b) : Paragneiss migmatitique (33 à 66 % de mobilisat) à biotite-pyroxène ± grenat

L’unité nAloi1b est formée de paragneiss migmatitique à biotite-pyroxène ± grenat contenant de 33 à 66 % de leucosome. Elle est caractérisée par le développement soutenu de leucosome de seconde génération (type II), dont l’abondance est égale ou supérieure à celle du leucosome de première génération (type I) (Chevé et Brouillette, 1990, 1992a, b).

Complexe de Lilois 2 (nAloi2) : Paragneiss migmatitique à biotite-grenat ± pyroxène

L’unité nAloi2 est constituée de paragneiss migmatitique à biotite-grenat ± pyroxène (Lapointe, 1986, 1989; Chevé et Brouillette, 1988, 1990, 1992a, b). Le mésosome (paragneiss) est généralement bien folié, gris à gris foncé et caractérisé par une structure granolépidoblastique. Le grenat (>5 %) s’avère être le minéral caractéristique de cette unité et, par endroits, le mésosome peut en contenir jusqu’à 20 ou 30 %, concentré à proximité ou au contact du leucosome (Lapointe, 1986, 1989; Chevé et Brouillette, 1988, 1990, 1992b). Outre le grenat, le mésosome est composé de plagioclase (25 à 55 %), plus localement de microcline (<5 à 10 %), de quartz (30 à 40 %) et de minéraux ferromagnésiens (20 à 30 %) dominés par la biotite. L’amphibole (hornblende) et/ou le pyroxène sont observés accessoirement. Les autres minéraux accessoires sont les minéraux opaques (~0,5 %) et quelques grains isolés d’apatite et de zircon. Un métamorphisme rétrograde de très faible intensité est révélé par la présence de chlorite et d’épidote (pistachite ± clinozoïsite) à la jonction de quelques lamelles de biotite (Chevé et Brouillette, 1992b). Plus localement, de la chlorite néoformée se développe le long des plans de clivage de la biotite.

Le leucosome, regroupé en deux principaux types (voir description générale), présente des contacts nets et continus avec le mésosome adjacent lorsque celui-ci est à grain fin (Chevé et Brouillette, 1990, 1992b). Localement, les contacts sont rehaussés par le développement d’un mélanosome à biotite de 3 ou 4 mm d’épaisseur tout au plus. Le leucosome est composé d’un matériel granitoïde de couleur blanc laiteux en surface d’altération et gris très clair en cassure fraiche.

Complexe de Lilois 2a (nAoi2a) : Paragneiss migmatitique (<33 % de mobilisat) à biotite-grenat ± pyroxène

L’unité nAloi2a est constituée de paragneiss migmatitique à biotite-grenat ± pyroxène contenant <33 % de leucosome. Le leucosome de première génération (type I) est dominant (10 à 20 %); le leucosome de seconde génération (type II) est plus limité (généralement quelques pourcents, toujours <15 % du volume total) (Chevé et Brouillette, 1988, 1990, 1992a, b).

Complexe de Lilois 2b (nAloi2b) : Paragneiss migmatitique (33 à 66 % de mobilisat) à biotite-grenat ± pyroxène

L’unité nAloi2b est formée de paragneiss migmatitique à biotite-grenat ± pyroxène contenant de 33 à 66 % de leucosome. Tout comme l’unité nAloi1b, elle est caractérisée par le développement soutenu de leucosome de seconde génération (type II), dont l’abondance est égale ou supérieure à celle du leucosome de première génération (type I) (Chevé et Brouillette, 1988, 1990, 1992a, b).

Complexe de Lilois 3 (nAloi3) : Paragneiss et métatonalite

L’unité nAloi3 est constituée d’une alternance de niveaux de 1 à 30 m d’épaisseur de paragneiss migmatitique et de métatonalite (Percival, 1993). Les niveaux de métatonalite correspondent probablement à des filons-couches de la Suite de Desliens qui se trouve en contact avec les paragneiss dans ce secteur.

Épaisseur et distribution

Le Complexe de Lilois désigne une importante unité de paragneiss orientée NW-SE et localisée dans le NE de la Sous-province d’Ashuanipi. Il est majoritairement localisé dans les feuillets 23O et 23J, et s’étend dans le quart SE du feuillet 23N. L’unité grenatifère (nAloi2) est la plus répandue.

Datation

Des zircons détritiques provenant d’un échantillon de paragneiss migmatitique ont donné des âges variant entre 3,4 et 2,7 Ga, indiquant un âge maximal de dépôt de 2,7 Ga pour les roches sédimentaires (Percival et al., 1992; Parent, 2011). Cet échantillon a également donné des âges secondaires de 2641 à 2632 Ma, interprétés comme des épisodes métamorphiques. Des monazites métamorphiques prélevées dans le leucosome d’un paragneiss migmatitique ont donné un âge comparable, à 2645 Ma (Chevé et Brouillette, 1992b). Percival et al. (1992) ont également fourni un âge métamorphique plus ancien, à 2660 Ma.

UnitéNuméro d’échantillonSystème isotopiqueMinéralÂge maximal de dépôt (Ma)Âge métamorphique (Ma)(+)(-)Référence(s)
nAloi2a

Ashuanipi 86-304U-PbZircon3400 à 2700  Percival et al., 1992; Parent, 2011
U-PbMonazite 2641 à 2632  
Ashuanipi 86-1092U-PbMonazite266011Percival et al., 1992
nAloi2b88-CAN-2U-PbMonazite 264566Chevé et Brouillette, 1992b

 

Relations stratigraphiques

Les grandes unités de roches métasédimentaires (complexes de Hublet, de Grosbois, de Lilois et de Raynouard) sont associées à l’événement précoce de la Sous-province d’Ashuanipi (<2725 à 2680 Ma; Simard et al., 2015). Les paragneiss migmatitiques du Complexe de Lilois, ainsi que les diatexites de la Suite d’Opiscotéo, sont les unités encaissantes des dykes de syénite à néphéline de la Suite syénitique de Goodwood et se trouvent en enclaves dans ces intrusions (Simard et al., 2015).

Paléontologie

Ne s’applique pas.

Références

Publications accessibles dans SIGÉOM Examine

CHEVE, S., BROUILLETTE, P. 1988. RECONNAISSANCE GEOLOGIQUE ET METALLOGENIQUE AU NW DE SCHEFFERVILLE, REGIONS DU LAC FONTISSON ET DE LA RIVIERE GOODWOOD – TERRITOIRE DU NOUVEAU-QUEBEC -. MRN. MB 88-36, 33 pages et 1 plan.

CHEVE, S., BROUILLETTE, P. 1990. RECONNAISSANCE GEOLOGIQUE ET METALLOGENIQUE AU NW DE SCHEFFERVILLE – REGION DES LACS WEEKS ET PAILLERAUT -. I N R S-GEORESSOURCES. MB 90-12, 41 pages et 1 plan.

CHEVE, S., BROUILLETTE, P. 1992a. RECONNAISSANCE GEOLOGIQUE ET METALLOGENIQUE AU NW DE SCHEFFERVILLE; REGION DES LACS LACHAUSSEE (1/2E) ET BRINGADIN (1/2W). MRN. MB 92-09, 129 pages et 1 plan.

CHEVE, S., BROUILLETTE, P. 1992b. RECONNAISSANCE GEOLOGIQUE ET METALLOGENIQUE AU NW DE SCHEFFERVILLE – REGION DES LACS WEEKS (1/2E) ET PAILLERAUT (1/2W) (TERRITOIRE DU NOUVEAU-QUEBEC). MRN. MB 92-12, 227 pages et 1 plan.

CHEVE, S., BROUILLETTE, P. 1995. GEOLOGIE ET METALLOGENIE DE LA PARTIE NORD-EST DE LA SOUS-PROVINCE D’ASHUANIPI (NOUVEAU-QUEBEC). MRN. MM 95-01, 7 pages et 1 plan.

CLARK, T., WARES, R. 2004. SYNTHESE LITHOTECTONIQUE ET METALLOGENIQUE DE L’OROGENE DU NOUVEAU-QUEBEC (FOSSE DU LABRADOR). MRNFP. MM 2004-01, 182 pages et 1 plan.

CLARK, T., WARES, R. 2006. LITHOTECTONIC AND METALLOGENIC SYNTHESIS OF THE NEW QUEBEC OROGEN (LABRADOR TROUGH). MRNF. MM 2005-01, 178 pages et 1 plan.

LAPOINTE, B. 1986. RECONNAISSANCE GEOLOGIQUE DE LA REGION DU LAC PAILLERAULT – TERRITOIRE DU NOUVEAU-QUEBEC. MRN. MB 85-73, 15 pages et 1 plan.

LAPOINTE, B. 1989. GEOLOGIE DE LA REGION DU LAC LILOIS (TERRITOIRE-DU-NOUVEAU-QUEBEC). MRN. ET 88-11, 46 pages et 1 plan.

LAPOINTE, B. 1996. UN EXEMPLE DE MINERALISATION AURIFERE EN MILIEU PROFOND: L’INDICE D’OR DU LAC LILOIS DANS LE COMPLEXE D’ASHUANIPI, PROVINCE DU SUPERIEUR, NOUVEAU-QUEBEC. TH 1747, 317 pages.

BILODEAU, C., CLARK, T., GRANT, M., 2004. Compilation géoscientifique – Géologie 1:50 000, 23O03 – LAC DE LA FRONTIÈRE. In : MRNF. 2010. CARTE(S) GÉOLOGIQUE(S) DU SIGEOM – feuillet 23O. CG SIGEOM23O, 16 plans.

BILODEAU, C., CLARK, T., GRANT, M., 2005. Compilation géoscientifique – Géologie 1:50 000, 23O04 – LAC PAILLERAUt. In : MRNF. 2010. CARTE(S) GÉOLOGIQUE(S) DU SIGEOM – feuillet 23O. CG SIGEOM23O, 16 plans.

BILODEAU, C., CLARK, T., 2008. Compilation géologique 1:50 000, 23O05 – LAC HELLUVA. In : MRNF. 2010. CARTE(S) GÉOLOGIQUE(S) DU SIGEOM – feuillet 23O. CG SIGEOM23O, 16 plans.

BILODEAU, C., CLARK, T., 2002a. Compilation géoscientifique – Géologie 1:50 000, 23J04 – LAC LA MILLERAYE. In ​: MRNF. 2010. CARTE(S) GÉOLOGIQUE(S) DU SIGEOM – feuillet 23J. CG SIGEOM23J, 9 plans.

BILODEAU, C., CLARK, T., 2002b. Compilation géoscientifique – Géologie 1:50 000, 23J05 – SANDY LAKE. In ​: MRNF. 2010. CARTE(S) GÉOLOGIQUE(S) DU SIGEOM – feuillet 23J. CG SIGEOM23J, 9 plans.

BILODEAU, C., CLARK, T., 2002c. Compilation géoscientifique – Géologie 1:50 000, 23J11 – LAC CLUGNY. In ​: MRNF. 2010. CARTE(S) GÉOLOGIQUE(S) DU SIGEOM – feuillet 23J. CG SIGEOM23J, 9 plans.

BILODEAU, C., CLARK, T., 2002d. Compilation géoscientifique – Géologie 1:50 000, 23J12 – LAC AVEZAC. In ​: MRNF. 2010. CARTE(S) GÉOLOGIQUE(S) DU SIGEOM – feuillet 23J. CG SIGEOM23J, 9 plans.

BILODEAU, C., CLARK, T., 2002e. Compilation géoscientifique – Géologie 1:50 000, 23J13 – LAC BRINGADIN. In ​: MRNF. 2010. CARTE(S) GÉOLOGIQUE(S) DU SIGEOM – feuillet 23J. CG SIGEOM23J, 9 plans.

BILODEAU, C., NADEAU, J., CLARK, T., 2002. Compilation géoscientifique – Géologie 1:50 000, 23J14 – ELROSS LAKE. In : MRNF. 2010. CARTE(S) GÉOLOGIQUE(S) DU SIGEOM – feuillet 23J. CG SIGEOM23J, 9 plans.

SIMARD, M., PARENT, M., PAQUETTE, L., 2009a. Géologie 1:250 000, 23K – CANIAPISCAU. In : MRNF. 2010. CARTE(S) GÉOLOGIQUE(S) DU SIGEOM – feuillet 23K. CG SIGEOM23K, 1 plan.

SIMARD, M., PARENT, M., PAQUETTE, L., 2009b. Géologie 1:250 000, 23N – RIVIÈRE SÉRIGNY. In : MRNF. 2010. CARTE(S) GÉOLOGIQUE(S) DU SIGEOM – feuillet 23N. CG SIGEOM23N, 1 plan.

PARENT, M. 2011. COMPILATION GEOCHRONOLOGIQUE U-PB DES SOUS-PROVINCES D’ASHUANIPI, D’OPINACA, D’OPATICA ET DE LA GRANDE. MRNF. MB 2011-04, 13 pages et 1 plan.

SIMARD, M., PAQUETTE, L., PARENT, M. 2015. SYNTHESE GEOLOGIQUE ET METALLOGENIQUE DE LA SOUS-PROVINCE D’ASHUANIPI, PROVINCE DU SUPERIEUR. MERN. MM 2015-01, 96 pages et 2 plans.

 

Autres publications

Percival, J.A. 1993. Geology, Ashuanipi Complex, Schefferville area, Newfoundland-Québec / Géologie, Complexe d’Ashuanipi, région de Schefferville, Terre-Neuve-Québec. Commission géologique du Canada, Carte série « A » 1785A, 1 feuille. https://doi.org/10.4095/193344

Percival, J.A., Mortensen, J.K., Stern, R.A., Card, K.D., Bégin N.J. 1992. Giant granulite terranes of northeastern Superior Province: the Ashuanipi complex and Minto block. Canadian Journal of Earth Sciences; volume 29, pages 2287-2308. https://doi.org/10.1139/e92-179

 

Citation suggérée

Ministère de l’Énergie et des Ressources naturelles (MERN). Complexe de Lilois. Lexique stratigraphique du Québec. https://gq.mines.gouv.qc.ca/lexique-stratigraphique/province-du-superieur/complexe-de-lilois [cité le jour mois année].

Collaborateurs

Première publication

Céline Dupuis, géo., Ph. D. celine.dupuis@mern.gouv.qc.ca (rédaction)

Mehdi A. Guemache, géo., Ph. D. (coordination); Dominique Richard, géo. stag., Ph. D. (lecture critique); Simon Auclair, géo., M. Sc. (révision linguistique).

 
6 décembre 2021