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Complexe d’Ungava
Étiquette stratigraphique : [arch]ung
Symbole cartographique : Aung
 

Première publication : 16 août 2016
Dernière modification : 7 février 2023
Subdivision(s) informelle(s)
La numérotation ne reflète pas nécessairement la position stratigraphique.
 
Aung4 Gneiss granitique
Aung4b Gneiss granitique siliceux
Aung4a Gneiss œillé et gneiss à microcline
Aung3 Gneiss tonalitique avec plus de 25 % de rubans de granite rose
Aung2 Gneiss tonalitique à rubans blanchâtres
Aung2a Gneiss dioritique à hornblende et biotite
Aung1 Gneiss rubané de composition tonalitique à dioritique
 
Auteur(s) : Simard et al., 2013
Âge : Archéen
Stratotype : Aucun
Région type : Région de Kuujjuaq et de la baie d’Ungava (feuillets SNRC 24J et 24K). Les plus beaux affleurements se trouvent en bordure de la baie d’Ungava
Province géologique : Province de Churchill
Subdivision géologique : Domaine lithotectonique de Baleine
Lithologie : Gneiss tonalitique à granitique
Catégorie : Lithodémique
Rang : Complexe
Statut : Formel
Usage : Actif

Historique

Le Complexe d’Ungava a été introduit par Simard et al. (2013) dans la région de Kuujjuaq et de la baie d’Ungava (feuillets SNRC 24J et 24K) pour décrire un assemblage de gneiss de composition tonalitique à granitique qui représente une part importante du sud-est de la Province de Churchill (SEPC). L’unité a été suivie vers le sud dans les régions du lac Saffray (Lafrance et al., 2014) et du lac Jeannin (Charette et al., 2016) et vers le SE dans les régions du lac Henrietta et du lac Brisson (Lafrance et al., 2015, 2016). Suite à la subdivision du SEPC en domaines lithotectoniques réalisée dans le cadre d’une synthèse (Lafrance et al., 2018), la définition du Complexe d’Ungava a été revue afin de ne contenir que les gneiss localisés au sein du Domaine lithotectonique de Baleine (Lafrance et al., 2020). Dans les domaines lithotectoniques de George, de Mistinibi-Raude et de Falcoz, les gneiss archéens similaires ont respectivement été assignés aux complexes de Saint-Sauveur, d’Elson et de Kangiqsualujjuaq. Le Complexe d’Ungava comprend aussi les gneiss auparavant assignés à la Suite de Ballantyne par Simard et al. (2013), unité qui est désormais abandonnée. 

Description

Le Complexe d’Ungava est majoritairement constitué de gneiss de composition tonalitique à granitique. Ces gneiss sont coupés par plusieurs phases granitiques protérozoïques sous la forme d’injections multiples et de dykes qui font partie intégrante du complexe. Simard et al. (2013) ont reconnu trois types d’injections d’après les relations observées sur des affleurements bien exposés en bordure de la baie d’Ungava : 1) des injections anciennes prétectoniques à syntectoniques qui coupent la gneissosité, mais qui sont également déformées et plissées; 2) des injections centimétriques à décamétriques non plissées, mais foliées et localement affectées par les zones de cisaillement; et 3) des dykes rectilignes, massifs et non déformés de granite et de pegmatite appartenant à plusieurs phases tardives.
 
Le Complexe d’Ungava a été divisé en quatre unités informelles (Simard et al., 2013) : 1) une unité de gneiss tonalitique à dioritique au rubanement très contrasté (Aung1); 2) une unité de gneiss tonalitique caractérisé par la présence de rubans centimétriques blanchâtres (Aung2); 3) une unité de gneiss tonalitique renfermant 25 % de rubans centimétriques de granite rose (Aung3); et 4) une unité de gneiss granitique (Aung4). La majorité de ces gneiss sont d’origine ignée; cependant, un protolite sédimentaire est aussi possible par endroits. Des niveaux boudinés de diorite ou de gabbro de largeur centimétrique à décimétrique sont aussi couramment observés au sein des différentes unités du Complexe d’Ungava. Ceux-ci pourraient représenter d’anciens dykes mafiques.
 

Complexe d’Ungava 1 (Aung1) : Gneiss rubané de composition tonalitique à dioritique

L’unité Aung1 est caractérisée par un rubanement net, régulier et très contrasté (Simard et al., 2013) produit par l’alternance de bandes millimétriques à décimétriques blanchâtres, grisâtres et noirâtres. La composition des bandes blanchâtres à grisâtres varie respectivement de tonalitique à dioritique, alors que celle des bandes noirâtres est principalement amphibolitique. Les rubans de composition variée peuvent également former des niveaux d’épaisseur métrique. Les bandes ou rubans tonalitiques à dioritiques ont une granulométrie fine à moyenne et sont partiellement à totalement recristallisées. Ils renferment 10 à 25 % de hornblende et de biotite en proportions variables. Les rubans d’amphibolite sont à grain fin et à structure granoblastique bien développée. Les gneiss de l’unité Aung1 ont subi un faible taux de fusion partielle souligné par la présence de rubans centimétriques blanchâtres de leucosome tonalitique, généralement lenticulaires et discontinus, parallèles à la gneissosité. Le mobilisat représente <10 % de la roche et contient du grenat localement (Simard et al., 2013).

 

Complexe d’Ungava 2 (Aung2) : Gneiss tonalitique à rubans blanchâtres

Le gneiss de l’unité Aung2 a une composition tonalitique, passant localement à une diorite quartzifère, et est caractérisé par la présence de 5 à 30 % de rubans de tonalite blanchâtre de largeur millimétrique à centimétrique. Simard et al. (2013) ont distingué trois différents types de rubans : 1) des rubans rectilignes d’âge archéen ou paléoprotérozoïque ayant subi la même déformation et la même recristallisation que la fraction principale du gneiss; 2) des rubans de mobilisat d’âge paléoprotérozoïque provenant possiblement de la fusion partielle du gneiss tonalitique; et 3) des injections paléoprotérozoïques centimétriques à décimétriques, parallèles ou légèrement discordantes à la gneissosité. Le gneiss tonalitique est une roche gris pâle à moyen, à granulométrie fine à moyenne et foliée. Il montre des structures de recristallisation partielle et un rubanement plus ou moins bien défini. Ce rubanement est communément accentué par la présence d’injections granitiques subconcordantes à la gneissosité. Le gneiss renferme 8 à 20 % de minéraux ferromagnésiens, principalement de la biotite brune, et des proportions variables d’amphiboles (hornblende verte ou actinote) selon les rubans, générant une forte foliation. Le gneiss de l’unité Aung2 peut renfermer jusqu’à 5 % de feldspath potassique. Les principaux minéraux accessoires sont, par ordre d’importance, l’apatite, l’épidote, les minéraux opaques, le zircon (en inclusion dans la biotite), le sphène, la muscovite, la chlorite, l’allanite et le rutile.

Complexe d’Ungava 2a (Aung2a) : Gneiss dioritique à hornblende et biotite

Les roches gneissiques de couleur plus foncée et dont la composition varie de diorite à diorite quartzifère ont été assignées à la sous-unité Aung2a. Cette unité forme de minces lambeaux <2 km de largeur à l’intérieur des autres unités de gneiss du Complexe d’Ungava. Elle se retrouve aussi sous la forme de niveaux centimétriques à métriques à l’intérieur des gneiss tonalitiques de l’unité Aung2. La roche est caractérisée par l’alternance de rubans millimétriques à décimétriques de diorite, de diorite quartzifère et de leucosome blanchâtre de composition tonalitique (10 à 25 %). Certains niveaux décimétriques montrent des évidences de fusion partielle plus importante. Les minéraux ferromagnésiens sont les mêmes que dans l’unité Aung2, mais en plus fortes proportions (15 à 35 %), particulièrement la hornblende. Le clinopyroxène est présent localement et est remplacé par la hornblende par endroits. Les structures et les minéraux accessoires observés au microscope sont similaires à ceux de l’unité Aung2.

 

Complexe d’Ungava 3 (Aung3) : Gneiss tonalitique renfermant plus de 25 % de rubans de granite rose

L’unité Aung3 est constituée de gneiss tonalitiques similaires à ceux de l’unité Aung2, mais qui se distinguent par la présence de 25 à 40 % de rubans de granite rose millimétriques à centimétriques parallèles à la gneissosité. Ces rubans sont finement à moyennement grenus, partiellement recristallisés et ont subi la même déformation que la portion tonalitique du gneiss. Simard et al. (2013) ont interprété cette unité comme étant des secteurs où les tonalites archéennes ont été coupées par des dykes de granite prétectoniques. Ces deux phases auraient par la suite été déformées, plissées et parallélisées lors de la déformation et du métamorphisme. À proximité de la Supersuite de De Pas, certains rubans granitiques sont plus grenus et sont en relief positif en affleurement. Il est probable que la majeure partie de ces rubans correspondent à des injections associées à la Suite granitique de De Pas (Lafrance et al., 2014).

 

Complexe d’Ungava 4 (Aung4) : Gneiss granitique

Sur le terrain, le gneiss granitique de l’unité Aung4 est similaire à la portion tonalitique des autres unités (Aung2 et Aung3). Il est gris pâle à moyen et renferme des rubans blanchâtres et rosés concordants à la gneissosité. Les lames minces et les colorations ont mis en évidence un pourcentage élevé de feldspath potassique (25 à 45 %) et des proportions généralement plus faibles en minéraux ferromagnésiens (5 à 15 %), qui consistent en feuillets de biotite alignés suivant la foliation. La biotite contient des inclusions de zircon et est localement associée à de faibles proportions de hornblende. Les minéraux accessoires sont peu abondants et comprennent l’allanite, l’apatite, les minéraux opaques, la muscovite, l’épidote, le sphène, la chlorite et le rutile. Dans le secteur de Kuujjuaq et de la baie d’Ungava, l’unité de gneiss granitique Aung4 correspond aux « gneiss à microcline » identifiés dans le centre-nord du feuillet 24K par Sauvé (1957, 1959).

Complexe d’Ungava 4a (Aung4a) : Gneiss œillé et gneiss à microcline

La sous-unité Aung4a comprend un gneiss œillé et un gneiss à microcline-quartz-plagioclase-biotite. Le gneiss œillé est constitué de microcline ovoïde de ~1 cm de diamètre dans une matrice à grain fin composée d’un assemblage de quartz, de plagioclase, de hornblende et de biotite. Ces gneiss sont intercalés avec le gneiss de la sous-unité Aung4b. L’information disponible au sujet des sous-unités Aung4a et Aung4b est très limitée, étant donné qu’elles n’ont pas été observées lors de la cartographie récente.

Complexe d’Ungava 4b (Aung4b) : Gneiss granitique siliceux

La sous-unité Aung4b est un gneiss granitique siliceux variablement migmatitisé dont le protolite est probablement d’origine sédimentaire (Gold, 1962). Elle comprend aussi les gneiss auparavant assignés au Complexe de Ballantyne par Simard et al. (2013). Le gneiss est gris ou rose et rubané. Il est composé de microcline, de quartz et de plagioclase avec des proportions mineures de biotite et de muscovite. Il contient localement des lamines ou des rubans de quartz bien définis.

Épaisseur et distribution

Le Complexe d’Ungava couvre une superficie de 6298 km2 au sein du Domaine de Baleine. Les unités Aung2 (2920 km2), Aung4 (756 km2) et Aung2a (334 km2) sont observées à la grandeur du domaine, alors que les unités Aung1(197 km2), Aung3 (237 km2), Aung4a (43 km2) et Aung4b (1773 km2) sont limitées à l’extrémité nord du Domaine de Baleine, dans les régions de Kuujuaq et de la baie Hopes Advance. Il est possible que la qualité exceptionnelle des affleurements le long de la baie d’Ungava ait permis une meilleure différenciation des unités de gneiss dans ce secteur. Toutefois, des niveaux non cartographiables à l’échelle 1/250 000 ont été observés ailleurs dans les autres unités du Complexe d’Ungava. La sous-unité Aung2a se présente couramment en lambeaux décimétriques à kilométriques au sein de l’unité Aung2.

Datation

Des datations réalisées sur plusieurs échantillons de gneiss ont donné des âges de cristallisation archéens et de métamorphisme paléoprotérozoïques. L’étalement important des âges archéens (2,95 à 2,65 Ga) indique une évolution géologique complexe. Les âges paléoprotérozoïques obtenus (1864 à 1786 Ma) correspondent aussi à l’épisode de migmatitisation des paragneiss et des diatexite des suites de False et de Winnie ainsi qu’à la mise en place de la majorité des unités intrusives au sein du Domaine de Baleine (suites de Champdoré, d’Aveneau, de Lhande et de Dancelou, Pluton de Kuujuaq, Complexe de Kaslac et Supersuite de De Pas).
 
Unité Numéro d’échantillon Système isotopique Minéral Âge de cristallisation (Ma) (+) (-) Âge d’héritage (Ma) (+) (-) Âge métamorphique (Ma) (+) (-) Référence(s)
Aung1 2011-CL-5255A U-Pb Zircon 2739 10 10 3154 20 20 1786 15 15 Davis et al., 2014
Aung2 2011-MS-0106A U-Pb Zircon 2803 7 7       1813 11 11 Davis et al., 2014
Monazite             1803 23 23
Aung4 2011-HH-4084A U-Pb Zircon 2723 9 9       1864 17 17 Davis et al., 2014
Monazite             1792 9 9
Aung1 16-CXA-D90 U-Pb Zircon 2729 13 13             Corrigan et McFarlane, communication personnelle, 2017
Aung2 2015-BC-6053 U-Pb Zircon 2655,9 6 6 2818 23 23 1844 26 26 David, 2020
Aung2 96-26-21 U-Pb Zircon 2950           1792 2 2 Isnard et al., 1998
2700 à 2600
Aung2 96-26-21 U-Pb Sphène             1765 2 2 Isnard et al., 1998
Aung4b 15-CXA-D29 U-Pb Zircon 2701 5 5             Corrigan, communication personnelle, 2018
Aung2 2017-WC-4222A U-Pb Zircon 2843 7 7             Davis et Sutcliffe, 2018
2773 7 7
Aung4b Olmstead Dome U-Pb Zircon 2798           2721 4 4 Machado et al., 1989
Sphène   1774 5 5

Relations stratigraphiques

Le Complexe d’Ungava représente probablement l’unité la plus ancienne du Domaine lithotectonique de Baleine. Il forme l’encaissant de la majorité des unités intrusives paléoprotérozoïques de ce domaine et se trouve en enclaves dans ces mêmes unités. Les enclaves (ou radeaux) de gneiss du Complexe d’Ungava sont particulièrement nombreuses dans les intrusions blanchâtres de la Suite d’Aveneau ainsi que dans les roches migmatitiques du Complexe de Qurlutuq, lesquelles sont interprétées comme le résultat de la fusion partielle des gneiss (Simard et al., 2013). Le contact entre le Complexe d’Ungava et la Suite de Saffray n’a pas été observé, mais cette dernière est interprétée comme étant intrusive dans le Complexe d’Ungava (Lafrance et al., 2020).

Paléontologie

Ne s’applique pas.

Références

Publications accessibles dans SIGÉOM Examine

DAVID, J., 2020. Datations U-Pb dans les provinces du Supérieur et de Churchill effectuées au GEOTOP en 2017-2018. MERN, GEOTOP; MB 2020-05, 29 pages.

DAVIS, D W., SIMARD, M., HAMMOUCHE, H., BANDYAYERA, D., GOUTIER, J., PILOTE, P., LECLERC, F., DION, C. 2014. DATATIONS U-PB EFFECTUEES DANS LES PROVINCES DU SUPERIEUR ET DE CHURCHILL EN 2011-2012. MERN, GEOCHRONOLOGICAL LABORATORY. RP 2014-05, 62 pages.

DAVIS, D W., SUTCLIFFE, C N. 2018. U-Pb Geochronology of Zircon and Monazite by LA-ICPMS in Samples from Northern Quebec. UNIVERSITY OF TORONTO. MB 2019-01, 113 pages.

GOLD, D P. 1962. RAPPORT PRELIMINAIRE SUR LA REGION DE LA BAIE HOPES ADVANCE, NOUVEAU-QUEBEC. MRN. RP 442, 13 pages et 1 plan.

LAFRANCE, I., BANDYAYERA, D., BILODEAU, C. 2015. GEOLOGIE DE LA REGION DU LAC HENRIETTA (SNRC 24H). MERN. RG 2015-01, 62 pages et 1 plan.

LAFRANCE, I., BANDYAYERA, D., CHARETTE, B., BILODEAU, C., DAVID, J. 2016. GEOLOGIE DE LA REGION DU LAC BRISSON (SNRC 24A). MERN. RG 2015-05, 64 pages et 1 plan.

LAFRANCE, I., CHARETTE, B. 2015. Géologie de la région du lac Jeannin. MERN. BG 2015-01, 1 plan.

LAFRANCE, I., CHARETTE, B., VANIER, M.-A. 2018. SUD-EST DE LA PROVINCE DE CHURCHILL, NUNAVIK, QUÉBEC, CANADA : SYNTHÈSE DE LA GÉOLOGIE. MERN. BG préliminaire.

LAFRANCE, I., SIMARD, M., BANDYAYERA, D. 2014. GEOLOGIE DE LA REGION DU LAC SAFFRAY (SNRC 24F, 24G). MRN. RG 2014-02, 51 pages et 1 plan.

LAFRANCE, I., VANIER, M.-A., CHARETTE, B., 2020. Domaine lithotectonique de Baleine, sud-est de la Province de Churchill, Québec, Canada: synthèse de la géologie. MERN; BG 2020-07, 2 plans.

SAUVE, P. 1957. RAPPORT PRELIMINAIRE SUR LA REGION DU LAC DE FRENEUSE (MOITIE EST), NOUVEAU-QUEBEC. MRN. RP 358, 10 pages et 1 plan.

SAUVE, P. 1959. RAPPORT PRELIMINAIRE SUR LA REGION DE LA BAIE AUX FEUILLES, NOUVEAU-QUEBEC. MRN. RP 399, 15 pages et 1 plan.

SIMARD, M., LABBE, J Y., MAURICE, C., LACOSTE, P., LECLAIR, A., BOILY, M. 2008. SYNTHESE DU NORD-EST DE LA PROVINCE DU SUPERIEUR. MRNF. MM 2008-02, 198 pages et 8 plans.

SIMARD, M., LAFRANCE, I., HAMMOUCHE, H., LEGOUIX, C. 2013. GEOLOGIE DE LA REGION DE KUUJJUAQ ET DE LA BAIE D’UNGAVA (SNRC 24J, 24K). MRN. RG 2013-04, 62 pages et 1 plan.

VERPAELST, P., BRISEBOIS, D., PERREAULT, S., SHARMA, K N M., DAVID, J. 2000. GEOLOGIE DE LA REGION DE LA RIVIERE KOROC (24I) ET D’UNE PARTIE DE LA REGION D’HEBRON (14L). MRN. RG 99-08, 62 pages et 10 plans.

Autres publications

ISNARD, H., PARENT, M., BARDOUX, M., DAVID, J., GARIÉPY, C., STEVENSON, R.K. 1998. U-Pb, Sm-Nd and Pb-Pb isotope geochemistry of the high-grade gneiss assemblages along the southern shore of Ungava Bay. In Wardle R.J., Hall, J. (Eds.), Eastern Canadian Shield Onshore–Offshore (ECSOOT), Transect Meeting, 1998. The University of British Columbia, Lithoprobe Secretariat, Report 68, pages 67-77.

MACHADO, N., GOULET, N., GARIEPY, C. 1989. U-Pb geochronology of reactivated Archean basement and of Hudsonian metamorphism in the northern Labrador Trough. Canadian Journal of Earth Sciences; volume 26, pages 1-15. https://doi.org/10.1139/e89-001

TAYLOR, F.C. 1979. Reconnaissance geology of a part of the Precambian Shield, northeastern Quebec, northern Labrador and Northwest Territories. Geological Survey of Canada; Memoir 393, 99 pages and 19 maps. https://doi.org/10.4095/124930

Citation suggérée

Ministère des Ressources naturelles et des Forêts (MRNF). Complexe d’Ungava. Lexique stratigraphique du Québec. https://gq.mines.gouv.qc.ca/lexique-stratigraphique/province-de-churchill/complexe-ungava [cité le jour mois année].

Collaborateurs

Première publication

Mona Baker, géo., M. Sc. (rédaction et coordination)

Pierre Lacoste, géo., M. Sc. (lecture critique); Claude Dion, ing., M. Sc. (révision linguistique); Céline Dupuis, géo., Ph. D. (version anglaise); Jean-Marie Nzengue (montage HTML). 

Révision(s)

Isabelle Lafrance, géo., M. Sc. isabelle.lafrance@mern.gouv.qc.ca (rédaction; 15 juin 2020)

Mehdi A. Guemache, géo., Ph. D. (coordination); Benoit Charette, géo., M. Sc. (lecture critique); Simon Auclair, géo., M. Sc. (révision linguistique); Céline Dupuis, géo., Ph. D. (version anglaise); Nathalie Bouchard (montage HTML).

 
9 février 2016