Intrusion gabbroïque de Musquaro
Étiquette stratigraphique : [mpro]mqo
Symbole cartographique : mPmqo
 

Première publication :  
Dernière modification :

 

 

Subdivision(s) informelle(s)
La numérotation ne reflète pas nécessairement la position stratigraphique.
 
mPmqo4 Brèche intrusive dioritique
mPmqo3 Gabbronorite et gabbro amphibolitisés
mPmqo2 Gabbronorite et troctolite coronitiques et amphibolitisées
mPmqo1 Péridotite massive et homogène
 
Auteur(s) :
Corriveau et al., 2002
Âge :
Mésoprotérozoïque 
Stratotype :
Aucun
Région type :
Région de Kegaska (feuillet SNRC 12K03)
Province géologique :
Subdivision géologique :
Lithologie : Roches intrusives mafiques et ultramafiques
Catégorie :
Lithodémique
Rang :
Lithodème
Statut : Formel
Usage : Actif

 

 

Historique

Cette unité a été informellement nommée « Intrusion litée de Musquaro » par Corriveau et al. (2002) et avait été préalablement cartographiée en tant que gabbro à olivine coronitique (Claveau, 1950), puis comme amphibolite (Bassaget, 1970). Elle a été formellement renommée « Intrusion gabbroïque de Musquaro » par Lafrance et Daoudene en 2023. Le nom de cette unité provient de la rivière Musquaro qui la longe.​

 

Description

L’Intrusion gabbroïque de Musquaro est une intrusion litée constituée, d’ouest en est, des unités informelles suivantes : 1) une unité de péridotite massive et homogène (mPmqo1); 2) une unité de gabbronorite et de troctolite coronitiques et amphibolitisées (mPmqo2); 3) une unité de gabbronorite et de gabbro amphibolitisés (mPmqo3); et 4) une unité de brèche intrusive dioritique. Selon Corriveau et al. (2002), cette zonalité régulière de composition correspond à celle d’une intrusion litée classique basculée, la base de l’intrusion se situant du côté ouest. 

Sur la carte du gradient vertical du champ magnétique résiduel, cette intrusion est associée à une très forte anomalie magnétique alignée NW-SE. 

Les différentes unités de l’Intrusion gabbroïque de Musquaro contiennent localement des lentilles et des niveaux décimétriques à métriques de roche noire à grain fin exhibant jusqu’à 10 % d’oxydes de fer.

 

Intrusion gabbroïque de Musquaro 1 (mPmqo1) : Péridotite massive et homogène

L’unité de péridotite est décrite par Corriveau et al. (2002) comme une roche homogène, de granulométrie fine à moyenne et à patine et cassure fraiche vertes. Elle est coupée par un réseau de veines orthogonales de serpentine. Son épaisseur minimale est estimée à 20 m (Corriveau et al., 2002). 

 

Intrusion gabbroïque de Musquaro 2 (mPmqo2) : Gabbronorite et troctolite coronitiques et amphibolitisées

Selon Corriveau et al. (2002), l’unité mPmqo2 affleure sur 40 m d’épaisseur et se présente en couches décamétriques homogènes et à contacts francs avec l’unité mPmqo3. Ces auteurs indiquent que cette unité est constituée d’une troctolite mésocrate à leucocrate à texture magmatique en partie préservée. Cette troctolite est constituée de lattes de plagioclase centimétriques entre lesquelles sont disposés des grains moyens de clinopyroxène et d’olivine à patine orangée. Les cristaux à patine orangée sont entourés d’une couronne vert foncé. Claveau (1950) mentionne que le plagioclase est une labradorite et que la couronne qui entoure des cœurs d’olivine serait constituée d’agrégats successifs, à partir de l’olivine, d’enstatite, d’augite, d’amphibole et de biotite. Corriveau et al. (2002) mentionne que ce type de texture est typique d’une couronne métamorphique.

Les échantillons de cette unité observés au microscope par Lafrance et Daoudene (2023) n’ont pas permis d’identifier la présence d’olivine. Les grains orangés, bien que présents dans les échantillons, semblent plutôt être de l’orthopyroxène variablement ouralitisé et chloritisé, indiquant plutôt une composition de gabbronorite. L’ensemble des lames minces des roches de l’unité mPmqo2 révèle aussi que la grande majorité des grains de clinopyroxène et d’orthopyroxène ont été fortement ou complètement remplacés par un mélange de hornblende et d’actinote. 

La gabbronorite comprend deux faciès principaux, tous deux non magnétiques, qui renferment 40 à 60 % de minéraux ferromagnésiens et qui arborent une texture coronitique. L’un des faciès est à grain moyen, l’autre est à grain grossier ou pegmatitique. La gabbronorite à grain moyen est mouchetée dans des teintes de gris à vert foncé à noir. Elle est massive ou faiblement foliée. La foliation est marquée par un alignement grossier des amas de minéraux ferromagnésiens et des grains de plagioclase. Il pourrait s’agir d’une foliation magmatique. Le pyroxène, vert ou brun, possède une bordure noire d’amphibole. 

La gabbronorite pegmatitique se présente en poches irrégulières centimétriques à métriques au sein de la gabbronorite à grain moyen ainsi que dans les roches de l’unité mPmqo3. D’après Corriveau et al. (2002), ces poches sont subparallèles aux contacts entre les différentes unités et leur présence indique le caractère riche en composés volatils des magmas. Ces poches coupent aussi nettement les contacts entre les différentes unités à certains endroits. La roche est massive et peut contenir jusqu’à 15 % d’amas centimétriques de magnétite et 2 % de cristaux prismatiques d’apatite. La texture coronitique s’exprime ici par un cœur de pyroxène (orthopyroxène ou clinopyroxène) ceint d’une couronne d’amphibole puis de biotite … la description de la texture du faciès à grain moyen est tirée de la littérature où l’auteur parle de cœur en olivine … ce que vous n’avez pas observé alors la séquence minérale qui constitue la couronne n’est pas similaire.

Au microscope, les deux faciès de gabbronorite sont hétérogranulaires. Le plagioclase, qui représente environ 40 à 60 % de la roche est à grain moyen à grossier et se présente sous la forme de grains tabulaires ou en lattes. Certaines lames montrent aussi la présence d’amas de plagioclase à grains fins partiellement recristallisés. Certains gros grains présentent une faible extinction ondulante. Le plagioclase est faiblement saussuritisé avec développement local de carbonate, d’épidote, de séricite et d’actinote. Le reste de la roche est constitué de minéraux ferromagnésiens se présentant couramment en amas millimétriques à centimétriques de cristaux de granulométrie moyenne à fine. Ces minéraux ferromagnésiens se trouvent aussi en fins cristaux entre les grains de plagioclase ou en inclusions dans ceux-ci. Les amas de minéraux ferromagnésiens sont dominés par l’amphibole. Ils sont constitués d’un cœur vert pâle avec des bordures vert foncé qui pourraient représenter les limites d’anciens grands cristaux. Dans plusieurs cas, il ne reste pratiquement plus de pyroxène dans la roche. Le cœur plus pâle est alors dû à la présence de nombreuses inclusions irrégulières et arrondies de quartz, qui pourraient être liées au remplacement total du clinopyroxène par la hornblende. Dans certaines lames minces, des reliques de clinopyroxène sont observées au centre des amas. L’orthopyroxène est quant à lui variablement remplacé par un mélange fin d’amphibole, de carbonate, de chlorite et de serpentine. La gabbronorite contient aussi ~5 % de phlogopite en feuillets dispersés ou associés à la hornblende, ou encore en amas de feuillets subidiomorphes localement disposés de façon radiale. Certains gros feuillets de phlogopite renferment un minéral opaque en leur centre. De la chlorite (<2 %) est localement associée à la phlogopite. Les principaux minéraux accessoires sont les minéraux opaques, l’apatite, le quartz (<1 %) et le zircon (en inclusions dans la phlogopite).

 

Intrusion gabbroïque de Musquaro 3 (mPmqo3) : Gabbronorite et gabbro amphibolitisés

L’unité mPmqo3 comprend différents faciès de gabbronorite et de gabbro, de granulométrie moyenne ou fine et variablement amphibolitisées. Ces roches apparaissent par endroits peu ou pas déformées, alors qu’ailleurs elles sont bien foliées. Cette foliation porte une linéation marquée par l’alignement des amas de minéraux ferromagnésiens. Les différentes faciès de gabbronorite et de gabbro sont généralement homogènes, mais ils peuvent être hétérogènes dans certains secteurs, particulièrement au contact avec l’unité mPmqo4. Selon Corriveau et al. (2002), l’unité mPmqo3 affleure en couches décamétriques fortement inclinées vers l’est et contient localement des enclaves mafiques qui marquent, avec les phénocristaux de plagioclase, une foliation magmatique.

À l’affleurement 23-YD-2162, la roche montre un rubanement qui s’exprime par une variation de la concentration des minéraux ferromagnésiens. Il pourrait représenter un litage primaire. Les contacts sont nets, mais le pourcentage de minéraux ferromagnésiens semble diminuer progressivement vers l’est (le sommet). L’espacement entre les rubans mélanocrates est régulier, de l’ordre du décimètre ou du mètre. Toutefois, selon Corriveau et al. (2002), il s’agirait plutôt de faciès intrusifs diffus de mélagabbro amphibolitisé orientés parallèlement à la foliation. Ces auteurs proposent que cette texture soit associée à la percolation de magmas hydratés avant la fin de la cristallisation des faciès gabbroïques hôtes. 

Au microscope, les roches de l’unité mPmqo3 sont généralement hétérogranulaires et constituées, en proportion similaire, de grains grossiers de plagioclase et d’amas de minéraux ferromagnésiens millimétriques. Le plagioclase est subidiomorphe ou idiomorphe, plusieurs grains sont tabulaires ou en lattes grossièrement alignées. Il est faiblement saussuritisé avec développement local d’actinote, de carbonate, d’épidote et de séricite. Les amas ferromagnésiens sont largement dominés par de l’amphibole vert pâle (hornblende/actinote) qui se présente en cristaux subidiomorphes ou partiellement polygonaux et de granulométrie fine à moyenne. Certains amas présentent un cœur plus clair qui semble constitué d’un mélange fin à très fin d’actinote et de reliques de pyroxène. D’autres contiennent de nombreuses inclusions irrégulières ou arrondies de quartz, à l’instar de ce qui a été décrit dans l’unité mPmqo2. Les minéraux accessoires comprennent la biotite (<3 %), l’apatite et les minéraux opaques. L’apatite est localement en grains aplatis marquant la foliation.

Dans une lame mince provenant de l’affleurement 23-IL-3107 (lithologie D), le pyroxène est mieux préservé qu’ailleurs. La gabbronorite est constituée de cristaux grossiers et jointifs de plagioclase avec des interstices remplis de grains xénomorphes d’orthopyroxène et de clinopyroxène. Ceux-ci sont en proportions similaires et montrent un début d’ouralitisation par une amphibole brunâtre autour des grains. Les cristaux de plagioclase montrent une orientation préférentielle qui semble souligner une foliation magmatique puisqu’ils ne montrent aucune extinction ondulante qui pourrait être associée à une déformation. Des grains arrondis complètement remplacés par un mélange fin de serpentine et de trémolite pourraient représenter d’anciens cristaux d’olivine (<5 %). Ces cristaux sont entourés d’une fine couronne d’orthopyroxène et de phlogopite suivie d’une couronne un peu plus épaisse de symplectite à quartz et plagioclase. Les minéraux accessoires sont la biotite, l’apatite et les minéraux opaques. Ces derniers sont en cristaux xénomorphes disséminés dans la roche et par endroits entourés de biotite.

La gabbronorite comprend localement des niveaux (ou des dykes) décimétriques à métriques hétérogènes où la roche hôte est injectée de matériel mélanocrate à grain fin (p. ex. affleurements 23-YD-2150 et 23-YD-2162). Ce matériel forme un réseau complexe et irrégulier d’injections millimétriques à centimétriques donnant un aspect zébré à la roche. Ces injections sont le plus communément parallèles à la foliation, mais peuvent localement être sécantes. Corriveau et al. (2002) interprètent ces niveaux comme des dykes et mentionnent que ceux-ci sont localement plissés et que certains sont imprégnés de veines irrégulières de magnétite. 

Au microscope, ce matériel fin et mélanocrate est composé de plagioclase (~50 %), de hornblende verte (40 à 45 %) et de magnétite (5 à 10 %). La hornblende se concentre en rubans qui marquent bien la foliation, voire un début de gneissosité. Les cristaux de plagioclase et de hornblende sont partiellement recristallisés. Plusieurs grains de plagioclase sont saussuritisés et contiennent des inclusions arrondies de quartz. L’épidote et la phlogopite sont accessoirement présentes.

Les roches de l’unité mPmqo3 sont localement injectées de gabbronorite pegmatitique de l’unité mPmqo2 ainsi que par des veines de matériel felsique, toutes deux discontinues et de largeur centimétrique à décimétrique. Le matériel felsique est principalement composé de quartz et de feldspath avec des proportions variables de biotite en amas, de tourmaline et de magnétite. 

 

Intrusion gabbroïque de Musquaro 4 (mPmq4) : Brèche intrusive dioritique

L’unité mPmqo4 se situe à la marge orientale de l’Intrusion gabbroïque de Musquaro. Il s’agit d’une brèche intrusive à matrice de diorite quartzifère à grain moyen et à fragments anguleux (5 à 35 %) de diorite et de gabbro amphibolitisés à grain fin. Cette brèche est en contact net avec les roches de l’unité mPqu3 et les coupe localement (p. ex. affleurement 23-YD-2161). 

La diorite quartzifère formant la matrice de la brèche est mouchetée beige-rose verdâtre et noir. Elle est faiblement magnétique. Elle renferme quelques phénocristaux de feldspath et contient 10 à 15 % de quartz et ~30 % d’amas de minéraux ferromagnésiens. En lame mince, la diorite quartzifère est hétérogranulaire et les bordures entre les grains quartzo-feldspathiques sont arrondies, à l’exception de certains plagioclases qui sont partiellement polygonaux. Les grains de quartz sont xénomorphes et à extinction ondulante. Le feldspath potassique semble absent. Les minéraux ferromagnésiens comprennent ~15 % de biotite brun foncé, xénomorphe à subidiomorphe et généralement disposée en gros amas. Les autres minéraux ferromagnésiens observés semblent être d’anciens pyroxènes fortement à complètement remplacés soit par de la hornblende, soit par un mélange très finement grenu de trémolite, de chlorite et de serpentine. Les minéraux accessoires comprennent l’apatite, le zircon, les minéraux opaques, l’épidote et le carbonate.

Les fragments à grain fin de la brèche sont centimétriques à métriques et fortement magnétiques. Ils sont gris foncé à noirs. Ils montrent une foliation marquée par l’orientation préférentielle des feuillets de biotite et par l’aplatissement de plusieurs cristaux de hornblende. Les minéraux ferromagnésiens (40 à 60 %) consistent en hornblende verte et en biotite brun foncé. Ces roches contiennent aussi ~10 % de grains de magnétite répartis de façon homogène. Les minéraux accessoires sont le quartz (<1 %), l’apatite et le zircon (en inclusions dans la biotite).

Le contact entre les unités mPmqo3 et mPmqo4 est net et fortement déformé le long d’un corridor subvertical de ~50 m d’épaisseur, dont la direction est de 150°. Dans cette zone de déformation, ces unités prennent un aspect gneissique et les fragments de brèche sont fortement aplatis. Un dyke de granite pegmatitique faiblement déformé est concordant au sein de la zone de déformation.

 

Épaisseur et distribution

L’Intrusion gabbroïque de Musquaro forme un corps allongé affleurant sur un peu plus de 4 km de long et ~1 km de largeur à l’embouchure de la rivière Musquaro. Ce corps est enclavé au sein de la Zone de cisaillement de Musquaro (ZCmus). Dans le prolongement vers le NW, trois intrusions satellites, de largeur hectométrique et de 500 m à 1,5 km de long, ont aussi été interprétées comme étant associées à cette unité. La superficie connue de l’intrusion est de 7,8 km².

À ~8 km au NW, dans le feuillet 12K06, Bassaget (1970) a identifié un corps de métagabbro à olivine de 17 km de long sur 2 km de large. Étant donné que ce dernier est associé à une très forte anomalie aéromagnétique similaire à celle de l’Intrusion de Musquaro, il est fort probable que ce corps en représente l’extension. Des travaux de prospection (Robillard, 2003) confirment la présence de péridotite, de gabbro et de diorite associés à cette anomalie magnétique.

 

Unité informelle Superficie (km²) Superficie (%)
mPmqo1 1,1 15
mPmqo2 2,7 34
mPmqo3 2,8 36
mPmqo4 1,2 15

 

Datation

Aucune. 

 

Relations stratigraphiques

Comme mentionné ci-dessus, l’Intrusion gabbroïque de Musquaro est en majeure partie enclavée au sein de la ZCmus. À l’ouest de l’intrusion litée, les roches de la Suite intrusive de Kegaska (mPkeg) sont fortement déformées et prennent l’aspect d’un gneiss droit sur quelques mètres de largeur (p. ex. affleurement 23-IL-3073). Du côté est, Corriveau et al. (2002) mentionnent aussi la présence d’une zone de déformation au contact des roches de la Suite intrusive de Mantuh (mPmut). L’unité mPmqo4 y est déformée et gneissique sur une largeur de ~100 m. Ces auteurs mentionnent aussi que ce gneiss présente des plis d’interférence en dômes et bassins et en croissants (types 1 et 2) coupés par des injections granitiques anastomosées, qui sont elles-mêmes plissées.

Cette unité est considérée comme l’une des plus vieilles de la région, tel que l’illustre ce schéma stratigraphique (Lafrance et Daoudene, 2023). Le dyke de granite pegmatitique observé au sein de la zone de déformation au contact entre les unités mPmqo3 et mPmqo4 appartient possiblement à l’unité 4 de la Suite intrusive de Washicoutai (mPwai4). Selon Corriveau et al. (2002), les caractéristiques rhéologiques très compétentes de cette unité expliquent qu’elle soit peu affectée par la déformation régionale.

 

Paléontologie

Ne s’applique pas. 

 

Références

Publications accessibles dans SIGÉOM Examine

BASSAGET, J.-P., 1970. Rapport préliminaire, géologie de la région de Kegashka, comté de Duplessis. MRN; RP 597, 24 pages, 1 plan.

CLAVEAU, J., 1950. LA CÔTE NORD DU SAINT-LAURENT, D’AGUANISH À LA BAIE WASHICOUTAI, COMTÉ DE SAGUENAY. MRN; RG 043, 77 pages, 1 plan.

LAFRANCE, I., DAOUDENE, Y., 2023. Géologie de la région de Kegaska, Côte-Nord-du-Golfe-du-Saint-Laurent, Province de Grenville, Québec, Canada. MRNF; BG 2023-12, 1 plan.

ROBILLARD, M., 2003. RAPPORT DES TRAVAUX 2002, PROJET RIVIÈRE MUSQUARO. RESSOURCES APPALACHES INC., rapport statutaire soumis au gouvernement du Québec; GM 61233, 71 pages, 3 plans.

Autres publications

CORRIVEAU, L., BONNET, A.L., 2005. Pinwarian (1.50 Ga) volcanism and hydrothermal activity at the eastern margin of the Wakeham Group, Grenville Province, Quebec. Canadian Journal of Earth Sciences, volume 42, pages 1749-1782.

Citation suggérée

Ministère des Ressources naturelles et des Forêts (MRNF). Intrusion gabbroïque de Musquaro. Lexique stratigraphique du Québec. https://gq.mines.gouv.qc.ca/lexique-stratigraphique/province-de-churchill/intrusion-gabbroique-de-musquaro [cité le jour mois année].

 

Collaborateurs

 

Première publication

Isabelle Lafrance, géo., M. Sc. isabelle.lafrance@mrnf.gouv.qc.ca; Yannick Daoudene, géo., Ph. D. yannick.daoudene@mrnf.gouv.qc.ca (rédaction) 

Céline Dupuis, géo., Ph. D. et Philippe Pagé, géo., Ph. D. (coordination); Marc-Antoine Vanier, ing., M. Sc (lecture critique); Simon Auclair, géo., M. Sc. (révision linguistique); André Tremblay (montage HTML).

 

 

6 novembre 2024