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Complexe de Kaslac
Étiquette stratigraphique : [ppro]kaa
Symbole cartographique : pPkaa
 

Première publication :  
Dernière modification : 23 janvier 2024

 

 

 

 

Subdivision(s) informelle(s)
La numérotation ne reflète pas nécessairement la position stratigraphique.
 
pPkaa4 Granitoïde riche en quartz
pPkaa3 Intrusions mafiques et ultramafiques
pPkaa3c Amphibolite
pPkaa3b Leucogabbro, leuconorite, diorite, monzonite et anorthosite mylonitiques
pPkaa3a Gabbro, gabbronorite et clinopyroxénite
pPkaa2 Métagabbro ferrifère riche en grenat et en magnétite
pPkaa1 Diorite et diorite quartzifère gneissiques, rubanées ou homogènes
pPkaa1c Gneiss à grenat et hornblende
pPkaa1b Diorite et diorite quartzifère à orthopyroxène
pPkaa1a Diorite et diorite quartzifère à amphibole
 
 
Auteur :Simard et al., 2013
Âge :Paléoprotérozoïque
Coupe type :Aucune
Région type :Région de Kuujjuaq (feuillet SNRC 24J)
Province géologique :Province de Churchill
Subdivision géologique :Domaine lithotectonique de Baleine
Lithologie :Roches intrusives métamorphisées
Type :Lithodémique
Rang :Complexe
Statut :Formel
Usage :Actif

 

 

 

Historique

Le Complexe de Kaslac a été introduit par Simard et al. (2013) dans la région de Kuujjuaq afin de décrire un ensemble de roches intrusives métamorphisées de composition ultramafique à felsique fortement déformées et recristallisées. Cette unité a été poursuivie vers le sud, dans la partie nord de la région du lac Saffray (Lafrance et al., 2014). Le Complexe de Kaslac a aussi fait l’objet d’un projet de recherche universitaire (Lamirande et al., 2016; Lamirande et Bilodeau, 2018).

 

Description

Le Complexe de Kaslac est constitué d’un ensemble complexe de roches intrusives gneissiques à mylonitiques de composition principalement intermédiaire. Plusieurs roches du Kaslac contiennent de l’orthopyroxène dont l’origine magmatique ou métamorphique n’a pu être clairement établie en raison de la forte déformation et du rétrométamorphisme des pyroxènes au faciès des amphibolites. Toutefois, la présence d’anorthosite, de leuconorite et de vestiges de structures coronitiques suggère que ce complexe pourrait être rattaché à une suite charnockitique (Simard et al., 2013). À plusieurs endroits, les roches contiennent de l’orthopyroxène très altéré.

Le Complexe de Kaslac se démarque à l’échelle régionale par une forte signature magnétique et comprend quatre unités : 1) une unité de diorite et de diorite quartzifère gneissiques, rubanées ou homogènes (pPkaa1); 2) une unité de métagabbro riche en grenat et en magnétite (pPkaa2); 3) une unité composée d’intrusions mafiques et ultramafiques (pPkaa3); et 4) une unité de granitoïde riche en quartz (pPkaa4). Dans plusieurs cas, on trouve des assemblages lithologiques appartenant à plus d’une unité sur un même affleurement.

 

Complexe de Kaslac 1 (pPkaa1) : Diorite et diorite quartzifère gneissiques, rubanées ou homogènes

L’unité pPkaa1 est divisée en deux sous-unités en fonction de l’absence (pPkaa1a) ou de la présence (pPkaa1b) de pyroxènes.

Complexe de Kaslac 1a (pPkaa1a) : Diorite et diorite quartzifère à amphibole

Les roches de la sous-unité pPkaa1a comprennent des diorites et des diorites quartzifères, localement des tonalites, à structure granoblastique et à granulométrie moyennne, avec un aspect gneissique, rubanées ou homogènes. La déformation intense a entraîné le développement de 5 à 20 % de rubans millimétriques de quartz (structure protomylonitique). Le faciès rubané est constitué d’une alternance de rubans millimétriques à centimétriques gris clair à gris foncé. À plusieurs endroits, on observe des rubans blanchâtres lenticulaires correspondant probablement à du leucosome ou à des injections boudinées, qui se seraient mis en place lors de l’initiation de l’épisode de déformation. Dans le cas du faciès homogène, les diorites sont gris clair à brunâtres et bien foliées à mylonitiques. Dans les roches de la sous-unité pPkaa1a, les minéraux ferromagnésiens (10 à 30 %) forment des amas submillimétriques étirés parallèlement à la foliation. En lame mince, ces amas sont constitués d’une multitude de petits grains généralement disposés à angle avec la foliation, impliquant une recristallisation métamorphique post-tectonique ou tarditectonique. Ces minéraux mafiques consistent en amphiboles (hornblende et actinote) et en biotite brun foncé à rouge. Ces grains présentent de nombreuses intercroissances entre eux et avec le plagioclase qui expliquent l’aspect particulier et typique de ces roches en lames minces. Ils sont localement fortement altérés en un mélange de chlorite et de poussières de minéraux opaques. Le clinopyroxène et l’orthopyroxène, localement coronitiques, ont été observés localement. Les autres minéraux accessoires sont l’épidote, le grenat, la chlorite, la muscovite, la tourmaline, l’allanite, le sphène, la magnétite et l’ilménite. Les roches de la sous-unité pPkaa1a alternent régulièrement avec des niveaux millimétriques à métriques constitués des lithologies des autres unités du Complexe de Kaslac. Parmi  les lithologies les plus fréquentes, mentionnons les gabbros et les leucogabbros de l’unité pPkaa3 et les granitoïdes riches en quartz de l’unité pPkaa4.

Complexe de Kaslac 1b (pPkaa1b) : Diorite et diorite quartzifère à orthopyroxène

Les roches de la sous-unité pPkaa1b ont une teinte brun cassonade ou gris verdâtre typique des roches à orthopyroxène. Elles forment une alternance de rubans à granulométrie fine et de rubans plus grossiers qui pourraient représenter du leucosome ou des injections transposés lors de la déformation. Les rubans plus grossiers renferment couramment des grains millimétriques à centimétriques de grenat et d’orthopyroxène. Les deux types de rubans comprennent des amas de minéraux ferromagnésiens majoritairement constitués d’actinote fibreuse et de feuillets de biotite rouge. Ces amas contiennent aussi une certaine quantité d’orthopyroxène fortement serpentinisé et de clinopyroxène, ce dernier se trouvant au cœur des amas d’actinote. Des petits grains millimétriques de grenat ont également été observés à plusieurs endroits. Les minéraux accessoires sont la magnétite, l’apatite, l’ilménite et la chlorite.

Complexe de Kaslac 1c (pPkaa1c) : Gneiss à grenat et hornblende

La sous-unité pPkaa1c est décrite par Gold (1962) comme un gneiss à grenat, hornblende, biotite, plagioclase et quartz. Très peu d’informations sont disponibles, car l’unité n’a pas été visitée lors des travaux de cartographie récents.

Complexe de Kaslac 2 (pPkaa2) : Métagabbro ferrifère riche en grenat et en magnétite

L’unité pPkaa2 est composée de différents faciès de gabbros fortement recristallisés. Elle possède une signature aéromagnétique très forte et contrastée par rapport aux autres unités du Complexe de Kaslac. Ce magnétisme intense est attribuable à la présence d’une proportion importante de magnétite (jusqu’à 10 %). L’unité pPkaa2 se subdivise en plusieurs faciès non cartographiables qui forment au moins deux successions monoclinales composées de niveaux ou de lentilles plus ou moins régulières de puissance métrique et d’extension pouvant atteindre quelques kilomètres. Cet arrangement est interprété comme un litage magmatique. Le faciès principal est constitué d’un gabbro à porphyroblastes de grenat avec oxydes de fer. Les faciès secondaires comprennent un faciès de gabbro sans grenat, un faciès lité dont la composition passe de l’anorthosite au gabbro mélanocrate et un faciès formé de quelques rares lentilles métriques de webstérite et de péridotite interstratifiées avec les roches du faciès précédent.

La présence d’une quantité importante de porphyroblastes de grenat dans le faciès principal de l’unité pPkaa2 donne à la roche une teinte rougeâtre caractéristique en surface altérée. Ces porphyroblastes sont pœcilitiques, coronitiques et représentent jusqu’à 50 % de la roche. Les couronnes noires sont bien développées et sont constituées de hornblende et de plagioclase. La matrice est composée d’un assemblage généralement hétérogène de plagioclase-hornblende ± clinopyroxène ± magnétite ± ilménite. Le grenat contient des inclusions de clinopyroxène ± hornblende ± plagioclase ± magnétite ± ilménite. Certains échantillons sont également riches en oxydes de fer et titane. Les structures magmatiques primaires sont complètement oblitérées. Dans les zones plus déformées, la fabrique devient localement gneissique et les proportions modales de minéraux ferromagnésiens et de grenat varient selon les rubans. Les roches se caractérisent localement par un phénomène de fusion partielle marqué par la présence de mélanosome à grenat-clinopyroxène-hornblende spatialement associé à une faible quantité de leucosome riche en plagioclase. Ces roches affectées par la migmatitisation se présentent en niveaux métriques à décamétriques intercalés avec des faciès non fusionnés. Le faciès de gabbro sans grenat est plus abondant en bordure des intrusions. Il est constitué de gabbro, de gabbronorite et de norite, renfermant localement des oxydes de fer et titane. Les pyroxènes sont majoritairement rétrogradés en amphiboles. Les roches arborent une patine gris-verdâtre caractéristique et une microstructure granoblastique. Ce dernier faciès ne semble pas avoir été affecté par la fusion partielle.

Le faciès lité, dont la composition passe de l’anorthosite au gabbro mélanocrate, est constitué de quantités variables de plagioclase et de clinopyroxène généralement remplacé par la hornblende. Il contient aussi localement du grenat. Les roches sont généralement foliées, granoblastiques ou mouchetées. Elles forment des niveaux métriques intercalés dans les autres faciès de l’unité pPkaa2. Les contacts sont diffus, les proportions modales de minéraux ferromagnésiens et de grenat variant de façon graduelle. On note également des niveaux de plusieurs dizaines de mètres d’épaisseur présentant une alternance de bandes centimétriques ondulantes, leucocrates à mélanocrates, interprétés comme un litage magmatique primaire. Le grenat forme des porphyroblastes associés aux minéraux ferromagnésiens. Dans les zones très foliées, le grenat constitue des agrégats polycristallins morcelés ou se présente en couronne diffuse autour des minéraux ferromagnésiens. Ces faciès mafiques renferment quelques rares lentilles métriques de webstérite et de péridotite à patine brun-rouille. À l’échelle de l’affleurement, ces roches définissent des lits décimétriques d’origine magmatique composés d’un assemblage d’orthopyroxène-olivine-clinopyroxène-spinelle-magnétite. Le pyroxène et l’olivine sont variablement affectés par la serpentinisation.

Complexe de Kaslac 3 (pPkaa3) : Intrusions mafiques et ultramafiques

Les intrusions mafiques et ultramafiques de l’unité pPkaa3 comprennent principalement deux sous-unités divisées en fonction de la proportion de minéraux ferromagnésiens. La première (pPkka3a) se compose de gabbro, de gabbronorite et de clinopyroxénite variablement amphibolitisés. La seconde (pPkaa3b) regroupe des roches plus leucocrates constituées de leucogabbro, de leuconorite, de diorite, de monzonite et d’anorthosite. Une troisième sous-unité d’amphibolite (pPkaa3c) est aussi associées à ces intrusions.
 

Complexe de Kaslac 3a (pPkaa3a) : Gabbro, gabbronorite et clinopyroxénite

Les roches de la sous-unité pPkaa3a renferment entre 50 et 70 % de minéraux ferromagnésiens, une proportion qui peut atteindre 90 % dans certains niveaux décimétriques à métriques. Ces roches sont noires ou vert foncé, bien foliées et à granulométrie moyenne à fine. Les minéraux ferromagnésiens consistent en clinopyroxène et en amphiboles brunes ou vertes, surtout de la hornblende et de l’actinote fibreuse. L’orthopyroxène a aussi été observé localement. Le clinopyroxène est partiellement à entièrement remplacé par les amphiboles, de sorte qu’il est possible que la majorité des amphiboles présentes proviennent de l’altération du pyroxène. Ces roches sont fortement recristallisées, quoique localement, certains cristaux plus grossiers de pyroxène ou d’amphibole aient été partiellement préservés dans la matrice granoblastique. On observe alors autour de ces grains des symplectites entre le plagioclase et la hornblende. Les minéraux accessoires sont la biotite, la magnétite, le sphène, l’ilménite, l’apatite et le carbonate.

Complexe de Kaslac 3b (pPkaa3b) : Leucogabbro, leuconorite, diorite, monzonite et anorthosite

La sous-unité pPkaa3b est constituée de leucogabbro, de leuconorite, de diorite, de monzonite et d’anorthosite très fortement déformés (mylonitiques). Ces roches contiennent entre 5 et 30 % de minéraux ferromagnésiens et ont un aspect moucheté caractéristique formé par une matrice de plagioclase granoblastique blanchâtre où baignent des amas lenticulaires millimétriques à centimétriques de minéraux mafiques noirs ou verts. La roche peut aussi renfermer jusqu’à 12 % de quartz sous forme de rubans millimétriques discontinus. À plusieurs endroits, on reconnaît une structure porphyroclastique associée à la présence de 5 à 20 % de cristaux de plagioclase centimétriques contenus dans une matrice granoblastique à granulométrie fine. Même si la forme des porphyroclastes a été préservée, ces derniers sont complètement recristallisés. Des porphyroclastes de feldspath potassique ont également été observés localement. Les minéraux ferromagnésiens (5 à 30 %) se composent de quantités variables de hornblende verte, de biotite brun foncé à rouge, de clinopyroxène, d’apatite, de minéraux opaques et d’un peu de sphène. Les amas de minéraux ferromagnésiens sont bien étirés dans la foliation. À l’intérieur des amas, les minéraux sont toutefois finement recristallisés et orientés de façon aléatoire, en intercroissance entre eux ou avec les minéraux silicatés, prenant alors un aspect éclaté possiblement associé au métamorphisme ou à la déformation intense. Quelques structures coronitiques ont été observées. Elles sont formées d’un cœur de clinopyroxène entouré par la hornblende et la biotite.

Complexe de Kaslac 3c (pPkaa3c) : Amphibolite

À l’extrémité nord du Domaine de Baleine, des amphibolites d’origine possiblement intrusive ont aussi été associées au Complexe de Kaslac. L’amphibolite est noire, granulaire et majoritairement constituée de hornblende avec des proportions moindres de quartz, de plagioclase et de grenat. La roche est localement schisteuse et représente selon Gold (1962) des roches intrusives ou effusives métamorphisées.  

Complexe de Kaslac 4 (pPkaa4) : Granitoïde riche en quartz

L’unité pPkaa4 regroupe des roches intrusives riches en quartz qui forment quelques lambeaux suffisamment épais pour être cartographiés. Elle se présente généralement en niveaux de largeur centimétrique à métrique intercalés dans les assemblages lithologiques des autres unités du Complexe de Kaslac. La roche de l’unité pPkaa4 possède une couleur blanche, beige ou gris clair. Elle est bien foliée à mylonitique, à granulométrie fine à moyenne et complètement granoblastique. Elle contient 50 à 85 % de quartz en rubans millimétriques, du plagioclase variablement séricitisé et une quantité de minéraux accessoires dont le grenat, la biotite, la muscovite, la tourmaline, l’épidote, la chlorite et le rutile.

Épaisseur et distribution

Le Complexe de Kaslac est exposé dans le secteur nord-ouest du Domaine lithotectonique de Baleine (Lafrance et al., 2020), où il couvre une superficie d’environ 1489 km2. L’unité pPkaa1 est la plus étendue (1183 km2), particulièrement la sous-unité pPkaa1a qui couvre 1125 km2. L’unité pPkaa2 (113 km2) est associée à deux anomalies magnétiques ovales très intenses de 5 à 10 km de diamètre localisées dans la partie nord du Domaine de Baleine. L’unité pPkaa3 (190 km2) forme une vingtaine d’intrusions de largeur hectométrique à kilométrique, alors que l’unité pPkaa4 (3 km2) n’est représentée que par trois intrusions de moins d’un kilomètre de largeur.

Datation

Les datations réalisées sur des échantillons de roches intrusives felsiques à intermédiaires indiquent des âges de mise en place compris entre 1835 et 1827 Ma. Ces âges sont contemporains à la mise en place d’autres unités intrusives au sein du Domaine de Baleine, soit la Suite de Champdoré (1859 à 1839 Ma), la Suite de Lhande (1834 Ma), la Supersuite de De Pas (1862 à 1805 Ma), le Pluton de Kuujjuaq (1869 à 1833 Ma) ainsi qu’à l’âge de cristallisation des diatexites de la Suite de Winnie (1839 à 1838 Ma).

UnitéNuméro d’échantillonSystème isotopiqueMinéralÂge de cristallisation (Ma)(+)(-)Référence(s)
pPkaa1b2011-PL-6182AU-PbZircon183522Davis et al., 2017
pPkaa U-PbZircon182855McNicoll et Corrigan, communication personnelle, 2018 in Lamirande et Bilodeau, 2018 
pPkaa U-PbZircon182755McNicoll et Corrigan, communication personnelle, 2018 in Lamirande et Bilodeau, 2018 

 

 

Relations stratigraphiques

Le Complexe de Kaslac est en contact tectonique (Faille de Gabriel) avec les roches métasédimentaires de la Suite d’Akiasirviup, situées juste à l’ouest, sur lesquelles il semble avoir été chevauché (Simard et al., 2013). Le Kaslac est aussi majoritairement en contact de faille avec les gneiss du Complexe d’Ungava. Il est coupé par les granitoïdes des suites de Dancelou et d’Aveneau.

La relation entre les unités pPkaa2 et pPkaa1 est incertaine et elles sont interprétées comme étant plus ou moins contemporaines. Par contre, des roches felsiques et intermédiaires à orthopyroxène et phénocristaux de feldspath, dont certaines sont similaires à l’unité pPkaa1, sont injectées dans les faciès mafiques où elles forment des niveaux parallèles de puissance métrique ou localement des brèches magmatiques. Les relations de terrain montrent que ces roches sont plus jeunes que les faciès mafiques malgré leur déformation.

 

Paléontologie

Ne s’applique pas.

Références

Publications accessibles dans SIGÉOM Examine

DAVIS, D. W., LAFRANCE, I., GOUTIER, J., BANDYAYERA, D., TALLA TAKAM, F., GIGON, J., 2018. Datations U-Pb dans les provinces de Churchill et du Supérieur effectuées au JSGL en 2013-2014. MERN; RP 2017-01, 63 pages.

GOLD, D. P., 1962. PRELIMINARY REPORT ON HOPES ADVANCE BAY AREA, NEW QUEBEC. MRN; RP 442(A), 11 pages, 1 plan.

GOLD, D. P., 1962. RAPPORT PRELIMINAIRE SUR LA REGION DE LA BAIE HOPES ADVANCE, NOUVEAU-QUEBEC. MRN; RP 442, 13 pages, 1 plan.

LAFRANCE, I., SIMARD, M., BANDYAYERA, D., 2014. Géologie de la région du lac Saffray (SNRC 24F, 24G). MRN; RG 2014-02, 51 pages, 1 plan.

LAFRANCE, I., VANIER, M.-A., CHARETTE, B., 2020. Domaine lithotectonique de Baleine, sud-est de la Province de Churchill, Québec, Canada: synthèse de la géologie. MERN; BG 2020-07, 4 plans.

LAMIRANDE, P. H., HUOT, F., BILODEAU, C., 2016. CARACTERISATION D’UNE INTRUSION MAFIQUE-ULTRAMAFIQUE LITEE ET METAMORPHISEE, ZONE NOYAU, PROVINCE DE CHURCHILL SUD-EST, NUNAVIK. UNIVERSITE LAVAL; MB 2016-11, 30 pages.

LAMIRANDE, P. H., BILODEAU, C., 2018. Géochimie et pétrogenèse des métabasites du Complexe de Kaslac, Nunavik, Québec. UNIVERSITE LAVAL, MERN; MB 2018-15, 43 pages.

SIMARD, M., LAFRANCE, I., HAMMOUCHE, H., LEGOUIX, C., 2013. GEOLOGIE DE LA REGION DE KUUJJUAQ ET DE LA BAIE D’UNGAVA (SNRC 24J, 24K). MRN; RG 2013-04, 62 pages, 1 plan.

 

Citation suggérée

Ministère de l’Énergie et des Ressources naturelles (MERN). Complexe de Kaslac. Lexique stratigraphique du Québec. https://gq.mines.gouv.qc.ca/lexique-stratigraphique/province-de-churchill/complexe-de-kaslac [cité le jour mois année].

 

Collaborateurs

Première publication

Isabelle Lafrance, géo., M. Sc. isabelle.lafrance@mern.gouv.qc.ca (rédaction)

Mehdi A. Guemache, géo., Ph. D. (coordination); Claude Dion, ing., M. Sc. (lecture critique et révision linguistique); Céline Dupuis, géo., Ph. D. (version anglaise); Yan Carette (montage HTML).

 

 

 

 

6 août 2019